Aller sans retour
Je commence par me dédouaner en disant que j'apprécie vraiment le gars Giovanni (mais pas son passé ...) que ce soit comme écrivain ou comme cinéaste. Mais ici difficile de m'enthousiasmer. Histoire...
Par
le 11 avr. 2021
1 j'aime
Je commence par me dédouaner en disant que j'apprécie vraiment le gars Giovanni (mais pas son passé ...) que ce soit comme écrivain ou comme cinéaste. Mais ici difficile de m'enthousiasmer. Histoire plan-plan, datée certes mais plutôt bien datée mais alors les dialogues ... holalalala .. et quand ils sont dits par JC bouillon et Jean Gaven (les deux font la paire hélas) c'est franchement très pénible et cela sonne complètement faux. Le pompon revient à Nicoletta. Ariane Ascaride à côté, est une actrice de génie. Mais que vient-elle faire ici ? Une diction totalement à côté de la plaque et qui met franchement en porte à faux ses partenaires.
J'ai apprécié JC Bouillon ailleurs (en Valentin évidemment) mais là il n'a pas l'air concerné du tout. J'ignore si José Giovanni a eu les coudées franches pour réaliser ce film, mais le fiasco à mon sens vient de l'interprétation.
Même le génial François de Roubaix n'est pas inspiré dans sa partition musicale.
Franchement dommage parce qu'il y avait de quoi faire un film sympathique.
Créée
le 11 avr. 2021
Critique lue 243 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Un aller simple
Je commence par me dédouaner en disant que j'apprécie vraiment le gars Giovanni (mais pas son passé ...) que ce soit comme écrivain ou comme cinéaste. Mais ici difficile de m'enthousiasmer. Histoire...
Par
le 11 avr. 2021
1 j'aime
Si d'habitude j'apprécie les films de Giovanni cette fois-ci ça prend moyennement. Sa mise en scène dans Un Aller simple manque de punch mais c'est surtout une histoire pas inintéressante mais pas...
Par
le 30 mars 2017
1 j'aime
Un aller simple est un polar français écrit et réalisé par José Giovanni d'après le roman de Henry Edward Helseth (publié en 1950... chez Série Noire) sur une musique composée par François de Roubaix...
Par
le 26 sept. 2017
3
Du même critique
Bon, si vous n'avez jamais entendu parler de Koji Wakamatsu, c'est un réalisateur japonais né en 1936 et mort en 2012. Il était communiste (ses films sont plutôt anar, parfois nanars), révolté, il,...
Par
le 12 janv. 2022
3 j'aime
Tourné en trois semaines avec des acteurs non professionnels (excepté la prostituée), l'Orphelin d'Anyang, tiré du propre roman de Wang Chao, est un choc. Le cinéma de Jia Zhang-Ke, c'est Laurel...
Par
le 4 févr. 2022
2 j'aime
En revoyant ce film, dès les premières images, la première chose qui me vient à l'esprit c'est que c'est un western. Mario Bava qui a réalisé (le mot est fort ...) Arizona Bill quelques mois plus...
Par
le 3 févr. 2022
2 j'aime