On commençait presque à s'inquiéter de ne plus voir Droopy mis en scène puisque cela faisait maintenant quelques courts qu'on n'avait plus aperçu le flegmatique toutou.
On le retrouve cette fois dans une histoire qui est celle d'un homme riche qui décède et qui décide de léguer sa fortne à l'un de ses deux plus fidèles compagnons: Droopy est l'heureux élu et touche donc le pactole. Sauf si Droopy vient à décéder, ce serait l'autre chien qui toucherait l'héritage.
Ce dernier va donc mettre tout en oeuvre pour éliminer Droopy. On retrouve des gags de non-sens, marque de fabrique de Tex Avery et d'autres tout aussi amusants.
On constate aussi que Avery aime bien éculer des gags à tout va. A croire qu'il a un stock de même gags à montrer un certains nombres de fois au spectateur (la piscine dessinée par exemple).
En bref, c'est très plaisant mais un peu répétitif.