Ce film débute sur un mystère avec cet amnésique se réveillant dans une gare de Stockholm, il rencontre une bonne âme voulant bien l'aider à recouvrer la mémoire, une serveuse. Le Chat blanc dans une certaine mesure se réfère au cinéma d'Alfred Hitchcock, il y a plusieurs éléments faisant clairement penser aux longs-métrages de Hitch avec même deux scènes oniriques nous rappelant vaguement La Maison du Dr. Edwardes (sans le talent de Dali). Cependant si le mystère dans un premier temps est assez intéressant à décortiquer cela le devient peu-à-peu moins plus on avance dans ce récit. Au final un film de genre qui se laisse découvrir, histoire de mieux comprendre la richesse du cinéma suédois.