Critique de Un homme sur la voie par Serge LEFORT
Cette histoire, filmée de manière théâtrale, est trop confuse pour être compréhensible.Les sous-titres en français sont nuls : piste au lieu de voie, etc.
Par
le 17 nov. 2024
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"Un homme sur la voie" est le second film du réalisateur polonais Andrzej Munk, datant de 1956.
Munk était un des réalisateurs les plus important de la nouvelle vague Polonaise avec Roman Polanski, Jerzy skolimovski, Wojciech J Has ou encore Jerzy Kawalerowicz.
En décembre 1961, il décédera en plein tournage de son cinquième film La passagère. Quel dommage au vu de ces grandes qualités de cinéaste.
"un homme sur la voie" débute par la mort d'un vieux employé des chemins de fer nommé Orzechowski écrasé par un train, on ne sait pas si il s'agit d'un suicide, d'un meurtre ou d'un sabotage. Ensuite nous retrouvons, dans le bureau du chef de gare, la plupart de personnes travaillant au chemin de fer afin de déterminer les raisons de cette mort. Ainsi le chef de gare, le jeune aide du défunt et le garde barrière prennent la parole et explique tour à tour leur version de l'histoire. On en sait plus sur Orzechowski au fur et à mesure de leurs histoires.
Ce n'est pas, selon moi, le meilleur film de Munk mais il reste très intéressant et prenant; La réalisation est, de même, moins belle que ces œuvres suivantes De la veine à revendre ou La passagère.
Créée
le 22 déc. 2016
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