7
Désir de mort
Après le viol de sa fille, devenue catatonique, et le meurtre de sa femme, un architecte, qui jusque là était plutôt bienveillant, devient violent et décide de nettoyer New York de sa pourriture...
Par
le 19 avr. 2014
34 j'aime
5
Un vieux film à laisser à la cave.
La question reste de savoir comment "évaluer" un vieux film ... On lit "a mal ou bien vieilli" ou "un chef d'oeuvre" comme certain qualifient par exemple le cuirassé Potemkine (sorry d'être iconoclaste, mais pour moi vide et chiant à crever).
Je regarde un film et le critique comme j'écoute de la musique, lit un livre ou regarde un tableau ou une sculpture.
Alors autant Clockwork Orange, plus vieux de trois ans, reste pour moi un pur chef d'oeuvre autant j'ai trouvé ce Death Wish un navet surjoué d'une banalité et prévisibilité affligeantes. Clichés sur clichés.
Mais OK on peut y trouver des quantités de choses évidemment, il suffit de lire d'autres critiques ici-même...
Je n'ai rien trouvé et n'ai pas eu envie d'etre complaisant.
Je préfère garder le souvenir de Bronson dans Once upon a time in the west. Un très grand film. Oops de 68 ! Oui il y a des vieux films qui sont intemporels. D'autres peuvent être oubliés, traces d'un passé qui ne mérite pas qu'on s'y attarde.
3
Écrit par
Créée
le 7 oct. 2023
Critique lue 22 fois
D'autres avis sur Un justicier dans la ville
5
Killing Is My Business...and Business Is Good
New-York, années 70, la ville est vérolée par la criminalité. Paul Kersey ( Karol Dionizy Buczynski alias Charles Bronson) est un architecte friqué, logé auprès de Madame dans un quartier huppé de la...
Par
le 24 juin 2013
22 j'aime
13
7
L'art de bien nettoyer sa racaille
Drôle de film quand même que ce pavé dans la mare jeté au beau milieu des années 70. À la fois pamphlet rentre-dedans pour dénoncer une société gangrénée par la violence, peinture acerbe d’une ville...
le 20 nov. 2021
20 j'aime
5
Du même critique
5
Est-ce le sujet, l"héroïne", le premier long métrage ?
Non je n'ai pas accroché. Le sujet il est vrai tout aussi important soit-il, et douloureux, a un petit coté répétitif avec un apport vraiment minime.L'histoire tient en une phrase et le syndrome de...
Par
le 13 oct. 2023
2 j'aime
5
Escalade dans le suprémacisme blanc
Le signe nazi dans la tarte aux cerises donne clairement le ton...Un groupe de femmes frustrées s'autostimule dans un club nouvellement créé pour se trouver une place dans la société ou elle pourront...
Par
le 19 juil. 2023
1 j'aime
3
Une daube.
Je ne comprends pas les cotes données à cet ovni. Histoire sans queue ni tête si on peut trouver un scénario dans cette historiette faiblarde. Ruptures à des moments "clés" comme si on avait coupé...
Par
il y a 7 heures
