L’imposé et le spontané se suivent sans changement formel. Ce ne sont pas deux choses différentes.
Sérieux elle avait 16ans
Le format profite au film car certaines choses filtres parmi la censure. Certains regards, des pleurs. C’est, d’ailleurs, parfois trop.
Tout ne se vaut pas et certains moments sont effectivement chiant et répétitif. Mais ils sont chiant et repetitif comme la vie qu’essaye de vendre le regime nord coréen et ca profite a cette ambiance.
Tout est mécanique, froid (trop), parfaitement rythmé et quand on insiste en appuyant sur la peur qui fuîtes des yeux de habitants on obtient un portrait d’une société qui marche a la punition et a la terreur.
Elle était meme pas vraiment belle. Et puis 16ans quoi
Les musiques sont niaises et maladroites mais elles témoignent d’une volonté de s’approprier ces images censurées, leurs donner un nouveau sens. Force est de constater que ça ne marche pas toujours (rarement).
Je t’aimais trop j’te jure
C’est imparfait, parfois ennuyeux mais pour certains moments et pour la rareté des images ça vaut l’intérêt