Un vieil homme atteint d'Alzheimer est sorti de l'asile et échoue chez l'ex-femme de son fils (sa seule "famille") qui l'accueille plus par obligation que par choix. Il va se lier d'une amitié étrange avec sa petite fille. Risi hyper tardif, 1990, son avant-dernier, réalisé donc bien après ses navets avec Coluche, dans lequel le cinéaste montre qu'il en avait encore sous le coude. C'est un film étrange, pas jusqu'au malsain mais malaisant, et qui se rapproche assez d'un esprit Ferreri. Evidence, mais à signaler tout de même, Gassmann y est énorme.