Analia Ivars y incarne une version butch de dracula, Rachel Sheppard sa victime tandis que Lina Romay, maquillée comme une drag queen, tente de l'exorciser en brandissant un gode et en improvisant des formules en latin. Le sulfureux Jess Franco signe un chef d’œuvre porno horrifique et expérimental digne d'un musée d'art contemporain. Le générique rédigé sansaucunespace, les images subliminales, les couleurs posterisées, et les subtils effets de ralentis et d'échos nous le rappellent à chaque minute.