La titre du film n’est autre que celui de Violeta Parra, une artiste chilienne, dont Andrés Wood tente de tirer le portrait. Ce dernier est orienté car l’artiste est essentiellement perçue à travers sa carrière de chanteuse. C’est là une des limites de Violeta qui n’aborde pas ou peu les autres pans de cette artiste qui œuvra aussi dans la peinture et la poésie. Etait-ce déjà le périmètre restreint du livre Violeta Parra, ma mère écrit par Ángel Parra, fils de l’artiste, et dont le cinéaste tire ici une adaptation cinématographique ? Lire la critique complète.