Ah Bruno Mattei ! On s'ennuie jamais avec lui : il reprompe tout pour un budget minimal. La musique de Zombie des Goblins, les stocks-shots animaliers pour grossir la pellicule et arriver péniblement à 98mn, etc...
Et tout cela filmé avec un minimum d'argent et surtout de talent : les décors sont nuls, les acteurs surjouent, les maquillages des zombies passables. On a droit au plan nichon incongru et obligatoire, aux morts gores mal faites, et même au message écologique prophétique : la science de l'homme va le détruire.
Attention, déjà en 1980 ça balance ! Oui, parce que tout ça c'est du à un projet secret dans une centrale nucléaire de Nouvelle Guinée qui vise à réduire la surpopulation des pays du Tiers Monde en créant des zombies. Bref, ce nanar est indispensable pour tous les fans du genre.