en ce temps la on faisait des films avec nos vedettes préférrées uniquement pour le s voir a l ecran ! ne cherez pas ici de scénario complexe ni de jeux d atrices ou d acteurs ! ce s films sont juste la pour voir sur la toile nox vedettes préférrées du moment Bardot !hallyday la liste est longue en fait c'etait surtout promotionnel pour relancer leur carriere en général ce s films sont mauvais il faut les prendrent pour ce qu'ils sont le s témoins d une autre époque
Les stars du yéyé sur grand écran :
Les figures yéyé françaises (Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Sheila, Françoise Hardy, etc.) donnent une vision édulcorée, juvénile à la limite de la futilité, des aspirations propres à la jeunesse mondiale des années soixante. Les producteurs ayant rapidement compris la rentabilité de ce mouvement, les stars du yéyé vont intégrer le cinéma. Déjà, en 1962, Johnny et Eddie Mitchell jouent dans "Les Parisiennes", film à sketches musicalisé par Georges Garvarentz (Johnny y chante notamment "Samedi soir").
On retrouve aussi Sylvie Vartan dans "Un Clair de lune à Maubeuge" en 1962. Dès l'ouverture, elle y interprète la chanson du même nom, composée par Pierre Perrin. En 1963, 1967 et 1972, elle interprétera son propre rôle respectivement dans "Cherchez l'Idole" (musicalisé toujours par George Garvarentz qui travaille avec Aznavour, Johnny Hallyday pour "Retiens la nuit" et Sylvie Vartan pour "La plus belle pour aller danser !") ; "Les Poynettes" (musicalisé notamment par François De Roubaix) ; "Absences Répétées" (musicalisé par Jean-Pierre Stora et chantée par Jeanne Moreau).
Françoise Hardy fait un passage éclair au cinéma. On la voit en 1963 dans "Château en Suède" musicalisé par Maurice le Sénéchal ; en 1965 dans "Une Balle Au Cœur" musicalisé par Mikis Theodorakis avant que celui-ci ne s'engage contre la dictature des colonels en Grèce ; en 1966, aux côtés de Sheila dans la comédie "Bang Bang" musicalisée par Georges Aber et Claude Carrère. Des succès limités pour des carrières cinématographiques qui ne décolleront jamais... Assumant pleinement ses engagements de jeunesse, Françoise Hardy dira, dans un entretien au Figaro, le 17 novembre 2013, ne pas avoir "honte du tout d'avoir appartenu à ce mouvement. Au moins, ces chanteurs qualifiés de yéyé avaient le sens de la mélodie. Ce qui se perd de nos jours".