Tout ce qui est vieux est finalement nouveau, et le drame de science-fiction fatigant Voyagers n’offre rien de plus que ce cliché. Le cinéaste Neil Burger, qui a réalisé la première adaptation de Veronica Roth, Divergente, revient dans le monde de jeunes adultes avec Voyagers, à ne pas confondre avec Passengers, un autre film de science-fiction où un personnage masculin manipule une femme piégée dans un vaisseau spatial avec lui. Voyagers a la même configuration que tant de films spatiaux, avec une équipe isolée dans l’espace et de plus en plus divisée par la peur et la paranoïa. Mais Burger n’apporte rien de nouveau au matériau et il ignore toutes les occasions de s’écarter de ce chemin narratif prévisible.
Critique en intégralité : https://cestquoilecinema.fr/critique-voyagers-neil-burger-dans-toute-sa-splendeur-sci-fi-debilo-ado/