Créé en 1941, le personnage de Wonder Woman, star de DC comics avec Superman et Batman, rejoint le club des super héros VIP avec ce film à sa gloire. Dans le costume de la justicière divine, l’ex-Miss Israël Gal Gadot fait un sans-faute: la force et la beauté sont avec elle. Côté destruction massive (figure hélas imposée du genre), la Princesse Diana (ce n’est pas une blague !) n’a rien à envier à ses homologues maisons. Idem pour l’humour : aux abonnés absents. Contrairement à la plupart des blockbusters du genre, Wonder Woman s’inscrit pleinement dans l’univers de la BD. Plans ultra graphiques, arrêts sur image stylisés, patine kistch façon péplum s’animent à l’écran : les fans peuvent se réjouir.
Clin D'œil :
C’est Gal Gadot, Miss Israël 2004, qui incarne la princesse guerrière (après une apparition dans Batman vs Superman) dans ce film fidèle à la BD. Pour jouer cette partition ultraphysique qui renoue avec l’image positive des débuts d’une femme forte et autonome, Gal a suivi un entraînement commando, "bien plus difficile", dit-elle, que celui qu’elle a connu pendant ses deux années dans l’armée !