Once upon a time, or maybe twice, there was an unaerthly paradise called.. Pepperland.
Bienvenue à Pepperland où tout le monde est gentil et heureux dans un pays gouverné par l'amour et la musique. Mais.. les voisins, appelés les blue meanies, ne sont pas d'accord, ils haïssent la musique par dessus tout et décident donc d'attaquer leur bruyant voisinage.
Mais comment sauver Pepperland ?
Prenons le Yellow Submarine pour trouver la réponse.
Voyageons à travers des mers plus étranges les unes que les autres dans un univers coloré et psychédélique (que l'on doit aux pionniers Heinz Edelmann et Milton Glaser) à l'animation limitée en filiation avec avec The Monty Python's Flying Circus. On obtient alors un melting pot de DADA et de la mentalité des années 60 avec du surréalisme, du pacifisme et bien sûr un monde animé par la musique (“the hills are alive with the sound of music”).
Nous atterrissons alors à Liverpool et demandons de l'aide aux Beatles qui se joignent gaiement à l'aventure. Les personnages transcrivent le caractère de chaque membre du groupe (même si les Beatles ne doublent pas leur voix .. ils apparaissent tout de même à un moment du film). Nos joyeux compagnons vont bien évidemment rencontrer des difficultés pour parvenir à Pepperland, mais surtout ils vont rencontrer un étrange personnage (mon personnage favori) grand artiste, poète, scientifique, écrivain, .. sans qui l'aventure ne serait possible : Jeremy Hillary Boob PhD.
En somme une expérience unique animée par la musique des Beatles et pleine d'humour : absolument à regarder (and only VO please).