Des pancakes! Des pancakes! Oui mais des pancakes réussit!

Une ombre passe dans la nuit, je fume lentement ma cigarette comme un condamné à mort. Je regarde ma machine à écrire dans le clair-obscur des rideaux de ma chambre. Une voiture passe puis au loin une musique étrange qui en ce lieu paraît si, irréel. Je transpire, je suffoque, je déboutonne un bouton de ma chemise. Je m'assois de biais sur ma chaise et commence à taper une, puis deux, puis trois touches de ma screen machine DLG 76 d'âge. La soif d'écrire cette critique me met dans un état de fièvre ou plutôt un état de transe si au final les deux n'apportent pas la vraie libération, celle du fauve enfermé dans sa cage désirant s'échapper plus que tout au monde.
L'idée.
Elle est là! Je la tiens comme un enfant tiendrait fermement sa sucette pour éviter qu'elle ne tombe par terre et que tatie monique nous rouspette! Sacrée Tatie j'ai bien fait de pas aller à son enterrement.
De l'idée vient la révélation, le doute et c'est à ce moment précis que la beauté, la vraie l'unique se montre sous son vrai jour. La beauté est cachée certes mais lorsqu'elle se présente on a juste envie de l'explorer sous toutes ses facettes comme un obsédé reluquerait des pairs de sous-vêtements dans un magasin de mode.
Ce jeu Pancakes!!! est comme une révélation pour moi, je sais très bien qu'au fond de moi même j'aurais une vie avant et une vie après pancakes!!! (sur ipad). Je ne t'ai vu qu'une fois, tu étais sur installé sur la table en verre de chez mon vieil ami Scotty. Tu m'as appellée même si tu ne le faisait pas mais je sais et tu sait que tu m'as appellée. J'ai appuyé sur une de tes touches puis deux et là j'ai su. Qui tu était bien sur mais surtout le pouvoir et le bohneur que tu allais m'apporter. Oui tu l'as bien compris, devenir le roi des pancakes.
Mais tu m'as quitté et tu t'es désinstallé avec cette réinitialisation de merde. Pour toi comme pour toutes les applis que j'ai connu Pancakes!!! Je ne t'oublierais jamais!