Imparfait sur de nombreux points, entre autre une maniabilité handicapée par une caméra aux fraises et une impression tenace de rejouer toujours les même missions, Shingeki no Kyôjin 2 : Mirai no Zahyô n’en reste pas moins un bon apéritif en attendant le plat de résistance A.O.T. 2 prévu pour le mois de mars. Disponible uniquement en import, il conviendra toutefois de maîtriser un minimum la langue de Hajime Isayama sous peine de passer totalement à côté du mode World et donc de l’intérêt principal du jeu.
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