Entre deux mondes en open world, l'idée de tester ce assassin's creed en 2D (et demi) était un concept complet. Russia vient conclure China et India et les trois jeux sont à jouer à la suite, avec un fil rouge clair et chacun ses propres morales.
Je digresse.
La dernière chronique est la plus dure : certaines séquences sont scriptées au poil de manette, et donneront des sueurs froides et crise de nerfs (Le jeu est d'ailleurs plus amusant à refaire qu'à faire !). Les outils sont différents, les adversaires ne doivent pas vous voir (laisser tomber le combat dans cet opus contrairement aux deux premiers, c'est vain).
Voilà pour les différences, car on est dans la lignée des précédents : un style graphique affirmé, des personnages vite caractérisé et en avant Guinguamp.
Au verdict, le jeu est dur (et ça fait plaisir par rapport aux séries en open world qui sont... Voilà. Long mais pas difficile hein), il est beau, il est parfait pour des parties de 30 minutes à une heure.
Bonus : il complete les zones d'ombres du jeu et de la série, Nikolai étant issue d'un personnage récurent (sujet 4) responsable notamment de la perte d'un des bâtons d'éden.
Bonus bis : le jeu se termine avec un code à noter et trouvable dans les 3 chroniques, et une vidéo cachées sur le projet phénix.
Pour les fans !