Assassin's Creed est synonyme de point d'observation, de difficulté inexistante et de manque de nouveauté depuis le second opus de la saga.
Cet épisode n'est rien autre qu'une sorte d'Add-on qui se construit sur Brotherhood, nouvelle map qui était déjà jouable dans le premier à savoir Constantinople, nouveaux éléments de gameplay qui apportent une légère nouveauté quant à la jouabilité, une lame crochet par ci, des tyrolienne par là sans plus, et un Ezio qui approche lentement mais sûrement de la fin de ses aventures. Cela suffit-il à faire de Revelation un bon jeu ? Force est de constater que oui, Assassin's Creed Revelation, s'avère être intéressant, encore une fois ce jeu n'ajoute rien à la formule des point d'observations et des combat faciles, mais il est reste agréable à jouer. Les graphismes sont réussis pour l'époque, il y va de même pour l'ambiance comme toujours chez "AC" et le scénario intéresse malgré son manque de révélations. L'ajout de mission s'articulant sur la base du Tower Defense sont particulièrement réussis et apporte une petite touche de nouveautés, avec une personnalisation plus poussé du système de confrérique permettant d'envoyer ses disciples aux quatre coin du monde en mission.
Avec du recul cet épisode est bien plus sympathique qu'il n'y paraît, s'il n'a pas la prétention de ré-inventer la saga, il a le mérite de proposer une fin honorable au Charismatique Ezio Auditaure da Firenze.