"Batman : vengeance" est un jeu vidéo mettant en scène les aventures du héro masqué éponyme, développé et publié par Ubi soft en 2001 sur Playstation 2, GameCube, Xbox, Game Boy Advance et Windows Microsoft.
Le jeu se déroule dans l'univers de la série TV "The New Batman Adventures "de Bruce Timm et Paul Dini. L'intrigue commence avec un attentat à la bombe et le kidnapping d'une mère et son fils par le Joker (Mark Hamill) qui s'avère être en réalité un piège tendu par ce dernier et sa compagne Harley Quinn (Arleen Sorkin). Un combat débute entre le chevalier noir et son némésis et s'achève par la mort suspicieuse du Joker. Batman (Kevin Conroy) va être entraîné dans d'autres périples et va devoir déjouer les plans orchestrés par Poison Ivy (Diane Pershing) et Mister Freeze (Michael Ansara). Au cours de ces périples, l'homme-chauve-souris va découvrir de nombreux indices qui laissent entendre que le Joker aurait survécu à leurs dernière bataille et le mystère s'épaissit.
L'atmosphère et l'univers de la série animée qui proposent des graphismes et des cinématiques plaisantes sont des points forts, ainsi que la qualité du doublage (uniquement en V.O.) qui reprend le casting original. Le scénario est bien ficelé, l'intrigue bien menée et permet un gameplay agréable. Cependant, les combats avec les ennemis, trop coriaces et trop résistants, sont beaucoup trop ardus et pénalisent l'expérience de jeu. D'autant plus que les "bat-menottes" sont indispensables pour être sûr d'en avoir finis avec les ennemis après les avoir étourdis car, sinon, ils sont susceptibles de se relever. Malheureusement ces "bat-menottes" sont limitées et c'est le cas pour d'autre gadgets tels les "batarangs électriques" qui ont l'avantage de mettre les ennemis K.O..
Le jeu offre l'opportunité, dans un des niveaux, de conduire la "Batmobile" ainsi que d'utiliser ses gadgets. Malgré tout, l’enthousiasme de prendre le volant de la "Batmobile" s'estompe tant le niveau est difficile.
Un bon et très beau jeu vidéo qui m' a fait piquer des crises de nerfs étant enfant.