Bien parlons maintenant du jeu Castlevania : Dawn of Sorrow, sorti sur DS.

Pour l'aspect subjectif. Je l'ai entâmé il y a moins de deux semaines, et je n'ai pas réussi à me décrocher de ce jeu. A tel point que je ne faisais plus rien à côté. Un moment de libre? Castlevania.

Excepté peut-être le week-end dernier, où je me concentrais sur Prototype, mais le soir, Castlevania en puissance.
Evidemment, le jeu me suivait par conséquent au lycée ^^
Bref, pas moyen de démordre.

Côté objectif désormais.
Le jeu n'a pas un scénario des plus élaborés. On retrouve Soma Cruz qui doit anéantir une secte qui veut (une fois de plus) ramener le Seigneur des Ténèbres à la vie.

Le jeu se déroule sur une seule et unique map, une réplique du château de Dracula. Toutefois, parcourir l'intégralité des pièces ne se fait pas en un claquement de doigts. Si si, je vous l'assure. Vous prendrez aisément un minimum de 2heures.
Sauf peut-être un Superplayer qui décide de le faire en mode rush. Peut-être peut-il se faire en moins de temps que cela.

Cependant, retenez qu'il s'agit d'un Castlevania, par conséquent d'un labyrinthe organisé. En effet, vous partez d'un point A, pour aller à B, pour vous éloigner à C, seulement pour accéder à D, il vous faut un objet important qui se trouve dans A, mais auquel on a accès seulement grâce à un pouvoir en E.

Bref, vous vous amusez à vous promener dans un château peuplé de démons accompagnés de leurs copains mort-vivants. Vous tapez, prenez du level, et affrontez des boss plutôt originaux et amusant. (Pour info, mon p'tit favori est celui de la Paranoïa!)

A savoir, le jeu possède trois fins. Je ne vous spoil rien, mais je vais vous indiquer comment les obtenir. Bien que cette astuce se trouve sur le net.

Pire fin :
Affrontez Dario et battez-le lors de votre seconde confrontation.

Mauvaise fin :
Utilisez le pouvoir de paranoïa lors de votre second affrontement contre Dario et battez son âme. Puis accédez à la pièce centrale du château sans porter le talisman de Mina.

Meilleure fin :
Comme au-dessus, mais en vous étant préalablement équipé du talismant avant de rentrer dans la salle centrale.

Côté musique (mon p'tit point favori pour ceux qui me suivent), vous obtenez une musique différente au fil des salles que vous traversez. Les musiques de combat contre les boss sont entraînantes. Bref, rien qui ne tourne vraiment en rond à vous en prendre la tête comme Dragon Ball sur NES.

Graphiquement parlant, c'est de la 2D, donc rien de bien original. La plupart des gens ne comprennent pas vraiment en quoi ce jeu a un gros succès. Moi j'ai envie de répondre que c'est justement dû à cet aspect graphique simpliste et attirant. On fait des jeux 3D magnifiques. Soyons franc, les décors nous "pètent au visage" aujourd'hui, beaucoup de jeux sont magnifiques, mais le scénario est insipide, fade, et le jeu sans âme. Rare sont les jeux qui combinent, graphismes splendides, scénario de bourrin qui tient bien la route, donc accrocheur et durée de vie.

Alors que ce Castlevania là, aux graphismes simples mais beaux, possède une p'tite durée de vie sympa avec plusieurs modes que l'on peut débloquer en finissant le jeu à 100% et une intrigue qui nous pousse à poursuivre le jeu.

Je pense faire la critique de Castlevania Portrait of ruin dans deux semaines (je le commence demain), et Order of Ecclesia d'ici un mois (qui m'attire beaucoup étant réputé pour être le plus costaud des Castlevania sur DS au niveau difficulté).
Nightmare
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le 30 janv. 2011

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