N'écoutez pas les nostalgiques qui vous diront que le jeu est très plaisant, pour qui fait partie de cette classe aristocratique de "vrais" joueurs qui l'ont joué à sa sortie sur Amstrad.
C'est un mensonge d’imbécile qui veut se donner une posture.
Ce jeu est une horreur. Ce jeu suce toute parcelle de joie de votre corps. J'ai cassé plusieurs joysticks sur ce jeu. L'enfant que j'étais a haï de toute son âme cette sorcière incapable de faire avancer ses miches ridées.
Cauldron n'est ni Dark Soul, ni Ghouls and Goblins. Il n'est pas difficile parce qu'il est exigeant, il est difficile parce qu'il est mauvais.
La "glorieuse" époque du rétrogaming sur Amstrad est surtout celle où, nous autres, les gamins fascinés par les jeux vidéos, n'avions accès qu'à des titres d’une qualité épouvantable, pour leur très écrasante majorité.
Jouer à Cauldron sur Amstrad CPC 6128, c'était de la pure torture. C'est pourtant peut-être le jeux sur lequel j'ai passé le plus grand nombre d'heures. Pour la simple raison que c'était — avec Commando — le seul auquel j'avais accès.