Danganronpa 2 : Goodbye Despair... Ah, rien qu’evoquer le nom me rappelle des matins difficiles dû au fait que je n’arrivais pas à arrêter la Vita la nuit d’avant. Il faut dire que le premier opus m’avait déjà beaucoup plu, et il m’etait difficile d’imaginer mieux. Et pourtant ils ont réussi alors quels sont les points qui m’ont fait hisser cette licence parmis mes préférés ?
Et bien déjà première chose : Le changement de décor. Car il est beaucoup plus agréable de se balader sur cette île ensoleillée que dans les couloirs sombres du lycée. Le côté plus lumineux n’enlève même pas de tension car malgré tout l’ambiance globale reste ultra glauque.
La deuxième gros point positif c’est les personnages. Déjà excellent dans Danganronpa 1, le casting des seize lycéens « ultime » est encore meilleur ici. Je me suis énormément attaché à Gundham Tanaka et Nekomaru Nidaï et forcément dans ce jeu plus on se prend d’affection pour un protagoniste plus le suspense est insoutenable à cause de la crainte d’une mort soudaine.
Autre éléments intéressant, les procès de cette opus se rapproche très largement du précédent et gardent ainsi cette qualité dans l’ecriture. Il m’arrive d’ailleurs souvent de me demander comment les scénaristes ont pu imaginer des meurtres aussi tordu ! Bravo à eux.
Je vais conclure en disant que si vous voulez une critique plus complète lisez celle que j’ai faite du premier opus car il y a beaucoup de choses que je ne répète pas ici. En globalité le jeu se rapproche tout de même beaucoup de son aîné et n’apporte pas grand chose de nouveau. Non pour moi, il fait exactement ce que doit faire une suite : sublimer les qualités du premier.