Greetings young Senscritique reader who look smart !
Si on pouvait résumé Deathspank à un film ça serait un monty Python, à un livre ça serait un Douglas Adams, à une chanson surement du Christophe Maé pour son ridicule.
Dès le menu du jeu on se retrouve guidé par la voix suave et sensuelle de Deathspank, défenseur de la veuve et de l'orphelin et surtout des phrases dithyrambique sur des missions improbables.
Durant cette aventure rocambolesque, ou notre héro part à la recherche de "The Artefact" afin d'éliminer la menace planant sur ce monde aussi barré que son protecteur.
Derrière le bordel ambiant de ce titre, se trouve un petit Hack'n Slash très mignon mais très basique (controle simple mais efficace), certes les graphismes sont du niveau d'un jeu PSN/Xbox Live mais il n'en reste pas moins que l'approche cellshading/2D de l'environnement convient parfaitement au jeu. Les petites touches de rpg (level, inventaire) permettent d'affiner les capacités de son héro de manière certes limités mais toujours très marrante (il suffit de lire les descriptions des objets pour se marrer).
Bref, même si je trouve le prix de 13€ un peu élevé ce petit jeu est bien sympathique et permet de passer une dizaine d'heure dans un univers qui manque parfois au titre vidéo ludique.