Dragon Quest IX : Anonymous Edition.
Précision : ma note se base sur une unique expérience solo.
Avec son contenu colossal (pour un jeu DS), sa réalisation somptueuse, sa durée de vie bluffante, son système de personnalisation des personnages, Dragon Quest IX avait quelques bonnes cartes dans son jeu pour me séduire...
(Attention, voilà un "mais")
Mais rarement je me serai senti aussi peu impliqué dans l'histoire d'un RPG. Une quarantaine d'heure de jeu, cela peut paraître énorme pour en arriver seulement à la moitié de ce que l'on appelle conventionnellement une "aventure". Sauf que 90% de ce temps de jeu s'est déroulé sous ma propre contrainte. Frustré de ne pas voir l'histoire décoller je me suis accroché jusqu'à l’écœurement. Avec ses quêtes lambda, et son univers proche d'un MMO quelconque. Pire : ses compagnons créés selon les désirs du joueurs et, donc, dépourvu de tout background ou de quelconque implication.
C'en était trop. la cartouche passera les prochaines années à moisir dans le fond de mon armoire. Jusqu'au jour, peut être, où, pris d'une folle envie de me faire un bon rétro, je me rappellerai que Dragon Quest IX proposait un contenu colossal (pour un jeu DS), une réalisation somptueuse, une durée de vie bluffante, ...