Pitch: Dans un univers Post-Apocalyptique, Kenshiro l'héritier du Hokuto Shinken, un art martial inégalé, voit sa compagne enlevée par Shin son rival de l'école du Nanto seiken. Kenshiro devra transcender sa nature pacifiste pour survivre à ce monde plongé en plein chaos et affronter les nombreux adversaires qui se dresseront sur sa route.

Pour ceux qui l'ignore Hokuto no Ken est un Manga / Anime Culte des années 80 scénarisé par le formidable Buronson (dont le chef d'oeuvre reste le méconnu Sanctuary) et dessiné par le talentueux Tetsuo Hara (et ce malgré un handicap terrible). Fortement inspiré des arts martiaux chinois et des grandes conquètes de la Chine Antique, Buronson transpose ces éléments dans un univers post-apocalyptique inspiré de Mad Max et de toute une culture "underground" et "populaire" qui donne alors naissance à une alchimie des plus réussie. Le style de Hara et l'habilité narative de Buronson font de ce manga un chef d'oeuvre qui gagne à être connu (le duo a depuis travaillé sur une Préquelle se passant dans les années 20: Souten no Ken). Les adaptation vidéo-ludique de Hokuto no Ken ne sont pas légion. Dans les années 80/90 il y eu le très médiocre Black belt, puis l'horripilant Last Battle sur 8 et 16 bits. (On pourra toujours se rabattre sur le Beat'em all Undercover Cops très inspiré de Hokuto no Ken sur super Nes). Il y eu quelques adaptation de Baston 2D (avec certains choix surprenant comme la présence de Jyuza dans les combattants jouables). Puis un opus playstation 1 releva le niveau (Seiki Matsu Kyuseishu Densetsu), sorte de Beat'em all 3D avec quelques relans de RPG, en offrant une aventure assez fidèle et agréable à jouer. Puis à la fin des années 2000, Arc System Works offrit un cadeau inestimable aux fan de la saga avec un jeu de combat 2D magnifique ne souffrant que d'un nombre de personnages jouables assez faible: Hokuto no ken Fighting. Et c'est en Mars dernier qu'est sorti au Japon, l'ultime adaptation de ce manga phare, developpé par le Studio tecmo Koei spécialisé dans les Musou (les Dynasty Warriors et autres déclinaisons), un choix relativement inspiré au vu des inspirations premières de Buronson. Accueilli dans la liesse au japon et aux Etats-Unis, le jeu fut démoli par la critique française. Alors qu'en est-il vraiment? Ce Hokuto Musou ou Fist of the North Star: Ken's rage est-il une adaptation réussie de Hokuto no ken?



Autant le dire tout de go, le jeu s'adresse bien sûr aux fans avant tout et ça Koei le sait très bien. S'orientant vers un aspect beat'em all assez évident vu le support original, le soft se targue de posséder trois modes de jeu: 1/Légende, 2/Fiction et 3/ Défi.

Le premier, et celui qui nous interresse dans un premier temps, peut être considéré comme le mode story. Il se présente sous la forme d'un Beat'em all très classique, voir "old school" avec une progression linéaire au sein d'environnements cloisonnés et dirigistes mais remplis de bad Guys sur qui passer ses nerfs. Il retranscrit de façon très fidèle le manga original. Le jeu prend donc pour point de départ l'arrivée de Kenshiro dans le village de l'innocente petite Lynn et du roublard Batt alors qu'une bande de Punks dirigée par le cruel Zeed attaque le village et s'étend jusqu'au combat final "fratricide" entre Kenshiro, l'héritier du Hokuto Shinken et Raoh le Roi du Poing. La période explorée est celle des 15 premiers tomes du manga et les fans pourront revivre à loisir des scènes aussi emblématiques que le combat contre Shin, la lutte contre le Clan Kiba, le duel entre Rei et Yuda ou encore le combat entre Toki et son frère biologique Raoh. Entre voix-off, textes narratifs et cinématiques, le joueur profane sera facilement immergé dans cet univers digne des plus grande tragédie. Il faut tout de même souligner que dans sa volonté de s'adresser aux fans, le studio commet quelques petits impairs. Certaines scènes emblématiques du manga si elles sont bien sûr bien encrées dans la mémoire du fan, ne sont pas présentes dans le mode Story. Ainsi, plutôt que de narrer l'enlévement de Yulia par Shin, il aurait été assez judicieux de montrer cette scène ainsi que la raison des 7 cicatrices sur le corps de Kenshiro, idem pour la mort de Toki ou la raison de la haine de Jagi... Aussi certains joueurs ne connaissant pas l'univers trouveront peut-être que les évènements s'enchainent parfois un peu vite mais qu'ils se rassurent la trame est tout à fait compréhenssible, très fidèle et ma remarque est de l'ordre du détail narratif. Ce mode story qui permet donc de diriger l'héritier du Hokuto Shinken est jouabl en solo uniquement mais à le mérite 1/ d'offrir une aventure relativement longue (un peu moins de 10h pour finir le mode légende de kenshiro) mais surtout 2/ de vivre les aventures du point de vue de personnages plus ou moins secondaires comme Rei, Toki, Mamiya ou encore Raoh! la progression au sein des niveaux sera alors revisitée avec son lot de cinématiques et d'ennemis rencontrés. Les personnages profitent d'un nouveau design d'un point de vue vestimentaire plus ou moins réussi selon les personnages. Ainsi Rei et Raoh, avec leurs plaques d'armure Japonaise sur certaines parties de leur corps renvoient à la nature martiale de leur condition ainsi qu'à un contexte "Musou" et sont très réussis alors que Shin retravaillé dans une optique vestimentaire symbolisant la dualité a un côté dandy assez sympathique mais pas forcément au goût de tous... L'esprit du Manga est respecté malgré ces variantes et il est possible pour les puristes de télécharger les costumes "originaux" de chaque personnages. Le "bestiaire" est d'ailleurs lui aussi assez fidèle au manga puisqu'on retrouvera les habituels punks, les hommes-loup du clan Kiba, les soldats de Souther ou ceux de Raoh. L'aspect des Punks est suffisament varié (n'en déplaise à Puyo dont le degrès d'intelligence filtre bien à travers ses yeux de bovin neurasténique) pour créer l'illusion du nombre même si ceux-ci sont dilués tout au long de l'aventure. (les puristes me répondront à raison que les punks dans le manga ont de toute façon plus ou moins la même tête et les soldats en armures encore plus...) Il faut d'ailleurs souligner que l'animation des punks est tout à fait dans l'esprit du manga puisque ceux-ci auront tendance à torturer de diverses manières les villageois ou à implorer votre pardon si vous affirmer votre domination sur le groupe. Les troupes de base se verront adjoindre des mini-boss à la carrure souvent imposante et au design aussi réussi que les autres (à part peut-être le mini-boss en armure à pointes). De quoi peupler les niveaux un peu vide, il est vrai mais témoignant d'un monde post-apocalyptique des plus fidèle au manga (immeubles en ruines, Montagnes aux pics acérés, temples ancestraux préservés comme par magie)...

Le mode Fiction quant à lui, est une habile adaptation du fond de commerce de Koei puisqu'il s'agit ici de plonger le joueur (ou les joueurs puisque ce mode est jouable à 2 via écran splitté uniquement) au sein de niveaux plus vastes (et dont la map est visible dans son intégralité), à la tête d'une petite armée. Si le but récurrent est de défaire le(s) leader(s) adverse(s), les batailles sont agrémentées de prises d'objectifs divers (prises de bases...) ainsi que de diverses interractions avec tel ou tel personnage venu participer au conflit (attaque surprise, renforts providentiels...). Les ennemis sont bien plus nombreux que dans le mode "Légende" avec une progression plus libre et une difficulté un peu plus relevée. Pour contre-balancer la difficulté, il sera possible de jouer ce mode de jeu avec le personnage déjà upper en mode story et inversement. Ce mode a le mérite de nous offrir des scénarii originaux offrant la possibilité de revisiter certains éléments de l'histoire originale ( Et si Jagi avait choisit de s'allier à Amiba, Et si Kenshiro avait renoncé à être l'héritier du Hokuto Shinken...) en incarnant certains personnages de premier ou second plan (8 au total + 2 via DLC: Kenshiro, Rei, Mamiya, Toki, Raoh mais aussi Souther, Shin ou Jagi - Et même Heart ou un simple Punk). De plus, un mode "libre" est également présent et permet de jouer les batailles de tel ou tel personnage avec un autre complétement différent. On regrettera cependant que certains personnages ne soit pas jouables, bien que présents dans le jeu (mais avec des coups plus ou moins clonés) comme Jyuza ou Shew qui méritent vraiment de bénéficier d'une attention particulière ou encore Yuda ou Ryuga (surtout que le choix de privilegier Mamiya à certains combattants du Nanto est une hérésie)... Ce mode, en plus d'offrir une durée de vie des plus conséquente, témoigne d'une vraie personnalité propre au soft qui dès lors n'est pas qu'une simple adaptation de la trame narrative du manga mais bel et bien une adaptation du mythe en rapport avec ses origines (la passion de Buronson pour le conflit des trois royaumes) et le style Musou propre au studio de developpement Koei. Il est assez abérrant de voir avec quel nonchalence les testeurs français font l'impasse sur ce mode dans leur test alors qu'il est un élément clé du soft qui a le mérite de nous proposer deux visions particulière du Beat'em all: le classique (old school) et le Musou.

Enfin le dernier mode intitulé "Défi", se présente sous la forme d'un boss battle de type Survival assez bien pensé puisqu'il s'agira d'affronter les boss selon le principe d'école martiale. Ainsi, une section sera dédiée au Hokuto Shinken, une autre au Nanto Seiken et enfin la dernière concernera ceux qui n'ont pas d'école particulière... Il faut également souligne rla présence d'une "Gallerie" contenant les cinématiques et les musiques du jeu mais surtout une encyclopédie succinte sur l'univers de Hokuto no Ken (personnages, techniques, lieux, écoles...).


Au niveau du Gameplay, le jeu offre bien plus de variété que ce que veulent le laisser croire les testeurs incompétents comme Puyo ou Logan (j'en profite d'ailleurs pour ajouter ce qui m'a valut une censure sur jv.com: Logan fait payer au monde entier le fait de se voir dans le miroir tous les matins). En effet, les 8 personnages jouables (de base sans compter les 2 DLC) profitent d'un style de combat aussi différent qu'emblématique. Kenshiro, Raoh et Toki en digne pratiquants du Hokuto Shinken profitent de combos redoutables pour éliminer n'importe quel adversaire se trouvant face à eux ainsi que de techniques spéciales propres à leur donner l'avantage dans n'importe quel duel. Le style de Toki sera plus aérien alors que les coups de Kenshiro, plus lent donnent plus une sensation de puissance à chaque impact, quand à Raoh et son aura, il écrase littéralement ses ennemis. De l'autre côté, les maitres du Nanto Seiken comme Rei, Souther ou Shin bénéficient de combos rapides et de coups offrants des dégats de zone ainsi que des techniques spéciales ayant pour but de tailler en pièce les ennemis par paquet de 10 plutôt qu'à l'unité. Mamiya ou Jagi compense leur relative faiblesse au corps à corps par la possibilité de tirer à volonté sur leurs adversaires... Je suis toujours navré de voir les testeurs dîts professionnels être incapables de réfléchir sur les choix de tel ou tel gameplay. Si le Hokuto Shinken est si efficace contre un ennemi isolé et moins contre des groupes (et encore certaines techniques contre balancent la donne) c'est que c'est un art martial d'assassin dont le but et d'éliminer de puissants adversaires. A l'opposé, le Nanto Seiken est un Art Martial dont le but est la protection de l'empereur, il est donc normal qu'il se destine à tailler dans la masse de ce qui pourrait être une armée de rebelles par exemple... De même, la lenteur (toute relative et qui tend à diminuer au fil de l'XP glanée) de Kenshiro ou de certains personnages sert à mettre en emphase chacun des coups portés pour renforcer la violence des impacts (un choix audacieux à l'heure où tout doit aller très vite). Pour ce qui est de la jouabilité pure et dure, on retrouve les classiques coups faibles et coups forts à mettre en corrélation pour donner naissance à de redoutables enchainements, on retrouve également les sauts, les choppes, une jauge de rage, la garde et les techniques spéciales. De ce côté le joueur sera gâté à tous les niveaux. Les techniques sont assez fidèles à ceux du manga original et chaque personnage bénéficient de 8 techniques emblématiques mais il faudra faire un choix et en choisir 4 avant chaque niveau. Une fois attribuées à l'un des 4 axes de la croix directionnelle, il suffira de presser un bouton pour les déclencher (si la jauge apropriée est remplie). A ces 8 techniques s'ajoutent 3 autres (ma préférée restant le Hokuto Zankai Ken - les pouces enfoncés dans les tempes) disponibles uniquement selon le degrés de rage déclenché. Autant dire que cela fait beaucoup. Chaque personnage dispose également d'une compétence particulière disponible via la pression du bouton apropriée: une roulade pour Kenshiro, une chargepour Rei, un contre pour Toki, etc... A noter que les adeptes du Nanto profitent également d'une attaque d'opportunité leur permettant de booster leurs enchaînements. La possibilité de "provoquer" l'adversaire est une option plus utile qu'il n'y parait puisqu'elle permet d'attiser la colère des ennemis qui se rasembleront alors en groupepour vous attaquer! Si la route est longue vous pourrez également emprunter une moto ou encore Koku-Oh, l'immense cheval de Raoh! Il est également possible de s'emparer de certaines "armes" (poutres de bâtiments, barils explosifs, lance...) Que l'on en vienne pas me parler de gameplay limité, cela serait de la mauvaise foi...

Si au début des aventures de nos héros, ceux-ci apparaissent relativement faibles, il pourront, une fois de l'XP engrangée et convertie en points de talents, faire un saut du côté d'un Damier sur lequel il faudra acheter tel ou tel pion offrant divers avantages (Dommages accrus, Meilleure défense, Jauge de Vie boostée...), acheter de nouvelles techniques spéciales et surtout des compétences équipables qui permettront d'optimiser votre personnage selon votre style de jeu. D'ailleurs, les developpeurs ont eu une idée fabuleuse en incluant la possibilité de modifier (en partie) le style martial de tel ou tel personnage. Je m'explique. Admettons que le style martial de Toki vous fascine ainsi que sa tuberculose affichée (le perso s'arrète après certains enchainement pour cracher du sang, encore une idée qui colle bien à l'esprit du jeu) mais que son "poing d ela compassion" (il donne la mort en offrant à ses victimes un ultime orgasme) soit trop clément à vos yeux, et bien vous pouvez l'équiper d'un atout "Hokuto Shinken" et les adversaires mis à mort par Toki exploseront dans les pires souffrances (il est possible de choisir le nanto également). c'est un détail de personnalisation mais qui permet de s'offrir une expérience de jeu qui convient vraiment à ses goût! Comme dit précédement la progression au sein du mode story est très classique voir dirigiste et donc cloisonné par des murs (certains destructibles) et autres grilles (inutile de revenir sur la mauvaise foi de ce bon à rien de Logan qui critique le fait de ne pas pouvoir sauter par dessus les grilles comme si Hokuto Musou était le premier jeu à offrir ce genre de limitation - en même temps souvenez vous de son lamentable 11/20 sur le fabuleux Lost odyssey). Les différents tableaux reposent sur une architecture plus ou moins labyrinthique et il faudra les explorer avec attention pour participer à toutes les quêtes annexes disponibles permettant d'obtenir certains bonus (symbolisées par les étoile de la constéllation de la grand ourse). Certains niveaux seront propices à quelques énigmes simplistes (casser un élément particulier, pousser des statues,etc...) ainsi qu'à quelques phases de plateformes heureusement très rare car pas vraiment évidente, la faute à un système de saut il est vrai un peu imprécis (voila ce que c'est de vouloir être fidèle à 100% et d emettre le coup de pied emblématique de la fin des génériques de Hokuto no ken.)...


Techniquement, le jeu accuse un certain retard il est vrai (n'oublions pas que le jeu est quand même sortie en mars au Japon, soit il y a déjà 8 mois). Si les personnages sont assez bien modélisés et détaillés (en particulier les personnages principaux mais les punks s'en tirent assez bien), le problème se ressent plus du côté des décors un peu pauvres au niveau des textures. Cependant, si Koei n'a jamais favorisé les graphismes (ici, ils sont tout de même mieux que ce qui se faisait avant niveau Dynasty Warriors) c'est pour offrir une expérience de jeu fluide et sans ralentissement. le jeu est loin d'être aussi laid qu'on veut nous le faire croire et reste fidèle au manga avec des décors assez dépouillés. La version européenne du jeu se veut plus violente dans les mise à mort que la version japonaise, ce qui se traduit par des déformations corporelles peut-être un peu trop poussée pour les dégats du Hokuto Shinken alors que ceux infligés par le Nanto Seiken sont très bien rendus. A noter que les vêtements des personnages se déchirent au fil des baffes distribuées que ce soit du côté des héros ou des punks et autres soldats... Les personnages dans les cut scenes bénéficient d'un traitement spécial (grain de peau, détail de la musculature ) contrairement aux décors qui restent assez pauvres (allez disons moches). La cinématique d'intro est, quant à elle, magnifique... L'animation des différents artistes martiaux est très réussie également et fort bien découpée, ainsi on se régale de nos actions tout en gardant la maîtrise de tel ou tel combo. La version européenne profitent des doublages anglais mais surtout japonais et il est impenssable d'essayer autre chose que la langue d'origine du manga. (attention un bug douteux subsiste sur xbox360: le niveau de la prison de cassandra doit être fait en anglais avec Kenshiro sous peine de voir le jeu se bloquait à la fin de la mission. heureusement ce phénomène ne se produit que pour une mission avec ce personnage uniquement.) Les musiques ne m'ont pas emballé plus que ça, elles font leur office (surtout le thème original remixé pour l'occasion) sans plus et j'avoue jouer sur les musiques originales que je fais tourner via la xbox 360...

En résumé, Hokuto Musou est loin d'être un mauvais jeu comme semblent vouloir le décreter certains imbéciles incapables de saisir l'essence du jeu qui propose un gameplay varié et addictif, une durée de vie incroyable (100 heures pour monter les 8 personnages à fond), une gestion prenante du personnage et un respect de l'oeuvre originale des plus apréciables... Le jeu a des lacunes techniques, il est vrai, mais ce qui compte avant tout c'est le plaisir de se plonger dans cet univers si bien retranscris et de pouvoir arriver à une maîtrise de son Art Martial favori qu'il soit du Hokuto ou du Nanto...
Manji1981
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le 14 déc. 2010

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Manji1981

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