Liberty city est un nom fondateur pour les amateurs de la série GTA (Grand theft auto). En lançant GTA 3, dont l’action se situe dans cette ville, Rockstar a révolutionné le jeu d’action avec un mélange plus ou moins bien dosé de provocation, de grande liberté pour le joueur et de bande-son soignée.
Liberty city a été la première ville où l’on pouvait, sans crainte, laisser libre court à son instinct de mauvais garçon. Deux jeux ont suivi : Vice city et San Andreas. Tous deux sont des améliorations de GTA 3, dans des univers différents.
A défaut d’un GTA 4, qui fera finalement les beaux jours de la PS3, Rockstar a préféré livrer ce nouvel épisode, qui sent un peu le réchauffé. Le titre était destiné au départ à la console portable PSP. Pour ménager les fans, l’éditeur a sorti ensuite une version PS2 très peu retouchée. Résultat : un jeu limité techniquement et graphiquement. Un véritable retour en arrière.
C’est d’ailleurs un leitmotiv dans cet opus, car l’action se déroule dans la même ville, à la même époque et avec les mêmes personnages que GTA 3. Le joueur dirige Tony Cipriani, un rôle secondaire dans le titre fondateur.
Malgré cette forme dépouillée, le jeu reste fidèle à la saga. Les missions sont variées, l’humour omniprésent. Les missions sont peut-être même plus déjantées que d’habitude.