Moche, pas maniable et bien difficile pour le coeur de cible que j'imagine être d'innocents enfants qui ont aimé le film et tanné papa-maman pour avoir le jeu. Enfin, je dis ça, mais si vous connaissez des hardcore gamers fan de la franchise, je veux bien les rencontrer par pure curiosité sociologique.
Revenons-en aux leçons à tirer de ce rebut de software, de cette honte à la belle Super Nintendo, par un raisonnement logique brillant :
1/ Business is business.
2/ Là où il y a du pognon à faire, quelqu'un en fera.
3/ Rien ou presque n'a changé au juteux pays des adaptations de films en jeux.
Conclusion, à lire avec emphase et indignation : tant qu'il y aura des moutons pour acheter, on tondra la laine des enfants.