Invizimals : Le Royaume perdu par Toy666
Après plusieurs épisodes sur PSP et depuis quelques temps une série de dessins animés (que l’on retrouve d’ailleurs sur Gulli en ce moment), Invizimals est sorti depuis quelques temps sur la PS3. On y retrouve Hiro, un jeune aventurier envoyé dans le monde des Invizimals. Big Up à l’introduction vidéo qui nous fait rentrer dans ce monde d’une très belle manière. Mais voilà, c’est le gros point positif du jeu. Hiro va essayer de détruire les Invizimals d’acier qui ne sont qu’une bande de voleurs de pouvoirs. Pour cela, il va devoir traverser plusieurs mondes et battre plusieurs Boss afin de récupérer leurs pouvoirs et leurs apparences.
Ce qui frappe de prime abord, c’est la laideur visuelle. On a l’impression d’être revenu sur PS2. Le jeu a vraiment un train de retard. Bien qu’hyper coloré, on en attend beaucoup plus de nos jours. De plus, côté Gameplay, c’est hyper répétitif et ça lorgne à mort sur celui des Skylanders (la machine à fric d’Activision). Du coup par contre, les enfants adorent car c’est on ne peut plus simple. Tu avances, tu tapes les méchants, tu utilises quelques capacités de tes Invizimals pour passer certains passages ou d’autres façons de se battre. Il manque juste le plateau avec les figurines.
Invizimals Le Royaume Perdu PS3 2Pour battre les boss, c’est simple, ce sont des petits QTE. C’est bien sûr travaillé pour les enfants car il y a largement le temps de les faire. Mais les problèmes de caméra arrivent très souvent. En effet, c’est aussi un jeu à base de plate-forme et quoi de plus frustrant qu’une caméra mal orienté pour raté un saut ? Dans cet univers, il y a aussi des étincelles à ramasser un peu partout qui permettent d’acheter de nouvelles compétences à votre Invizimals (6 au total par personnages). Vous pourrez aussi débloquer de nouvlelles bestioles qui vous serviront dans le mode Combat.
Invizimals Le Royaume Perdu PS3 4Ce mode combat peut contenir plus d’une centaine d’Invizimals à débloquer. Plutôt une bonne chose de ce côté là. vous aurez même le choix de vous battre avec des amis en local ou en ligne. Malheureusement, c’est aussi assez répétitif. Il suffit donc de faire descendre au minimum la barre d’énergie au minimum de votre adversaire. Ça manque de subtilité. Dommage.
A noter que le nom du héros n’est pas le seul point commun avec la série Heroes. En effet, les musiques m’ont fait penser à cette série tout le long, comme une impression de copié collé. Sensation bizarre…