Bien évidemment pour du Beat’em all, terminé le jeu est un peu vague.
Néanmoins, je peux dire que j’ai terminé la ligne de mission principale. J’ai tellement apprécié le jeu – car oui j’aime l’univers Sentai/Kamen Rider – le jeu m’a totalement conquis.
Nous devrons parcourir différentes missions afin de débloquer des Riders – quasi tous d’ailleurs – depuis Kamen Rider Ichigou (1971) jusqu’à Kamen Rider Ghost (2016). On ressent bien l’univers manette en main où chaque personnage avec les vraies voix (pour en tout cas ceux que je connais) ont été inséré, le fait que chaque personnage puisse utiliser tous les mouvements qu’on peut voir dans les séries du même nom, on prend notre pied à essayer tous les personnages même si on finit par utiliser notre personange favori. D’ailleurs pour les plus grands fans, une version « radio » qui coûte nettement plus chère contient toutes les Openings des séries. Juste pour cet aspect-là, ça en vaut vraiment le coup d’investir un peu plus de sous, pour nous donner une immersion totale lors de nos enchainement de nos innombrables combos.
En outre, ces missions qui sont tout de même rébarbatives, nos Riders gagneront des niveaux (jusqu’à 99) au fur et à mesure des missions dont on peut d’ailleurs régler le niveau de difficulté (easy, normal, hard, very hard et hell ; les deux dernières après avoir terminé toutes les missions). Donnant ainsi une une porte ouverte à du Retry-Game afin qu’on retente les missions dans un niveau de difficulté accru afin de gagner encore plus de points d’expérience, donc plus de niveau.
Car justement le niveau max sera important, car outre les missions du storyline, un mode de jeu s’offrira à nous qui fait un peu office de « Mode Survival » où nous devrons effectuer plusieurs missions à la suite dans un temps imparti et des critères bien spécifiques dans un niveau souvent très élevé. Ces missions nous permettront de débloquer les derniers Riders du jeu. Heureusement pour nous aider dans ses missions, nous pouvons mettre sur nos Riders jusqu’à 3 cartes (Rang S, A, B et C) qui nous donneront des bonus dans nos statistiques. Ces cartes seront toutes à débusquer à travers l’environnement dans les différentes missions du jeu et sont cachés dans des boîtes métalliques de couleurs jaunes. Difficile d’obtenir l’exhaustivité de ces cartes, mais le bon côté c’est que ça permet de se continuer le jeu afin de toutes les collectionner.
En conclusion, c’est un jeu qui m’a réellement surpris en bien par son aspect Fan-Game, son dynamisme et sa façon de nous montrer « vas-y, tente encore une mission ». Je pense toute de même qu’il faille être un fan de l’univers afin d’apprécier ce jeu à sa juste valeur.