Je le jure sur l'honneur : non, ce n'est pas mon amour nostalgique pour l'oeuvre de Kurumada qui me fait dire que cet étron est d'un vide abyssal. Juré, craché : ce jeu n'aurait tout simplement du ne pas exister même si j'avais détesté les Chevaliers du Zodiaque. Outre un graphisme tout particulièrement hideux (aidé, il est vrai, par un level design aussi varié qu'une boîte de thon) et un gameplay dont je n'ai toujours pas saisi les bases, La Légende d'or est une agression vidéoludique de chaque seconde, où on se branle de l'histoire originale, où le scénario est aussi palpitant qu'un épisode de Derrick sous valium et au système narratif très évolué. Je me suis mis à croire pourtant à quelque chose de renovueau quand l'équipe de base se forme mais NON, tu contrôleras Seyia et accessoirement tu pourras changer à l'occasion de perso, mais ça ne te sera pas utile pour deux sous. Tout ça pour quoi ? Pour un final qui n'en mérite pas le nom. C'est ce genre de jeu qui brise parfois l'élan euphorique des retrogamers quand on se rappelle que la NES, c'était aussi des daubes qui ne cherchaient même pas à faire illusion parfois...
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le 27 janv. 2013

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