Pendant ce temps la, les Beatles chantent "LUCIE IN THE SKYYYIE WITHE DAIMMMMMONDES!!!!!"
Sony of Japan à l'art de pondre des jeux bizarres.
Osamu Sato, le papa du jeu, vendait beaucoup de disques publiés chez Sony Japan, donc quand il dit "Je vais faire un jeu de le vidéo", Sony répond: "Mais vas-y mon p'tit coco, on publie". Donc LSD Dream Emulator sort en 1998 sur la PS1, et c'est un sacré trip sous LSD (qui au passage veut dire "Lovely Sweet Dream" dans ce jeu, et non pas "Lysergic acid diethylamide" comme vous le savez tous).
Le Gameplay de la bête se résume à Marcher, Explorer, toucher des trucs pour être téléportés.
La téléportation, ou "Linking" comme le jeu l'appelle, arrive à chaque fois que vous touchez un objet. Vous vous retrouverez à chaque fois dans l'une des 5 zones du jeu, à chaque fois avec une musique, des textures et des couleurs différentes, le tout avec des personnages et des événements différents à chaque fois.
Le point fort du jeu est sa diversité, si la première partie commence assez calmement, au bout de la 10ème consécutive, les choses commencent vraiment à bouger et le jeu devient de plus en plus étrange.
Malheureusement, si vous ne sauvegardez pas, vous reprenez au "niveau" 1 et là vous vous rendez compte qu'en fait, le jeu à une série d'événements scriptés pour chacun de ces "niveaux".
LSD Dream Emulator est ce qu'on appelle une perle rare, une expérimentation que peu de gens osent faire de nos jours et c'est vraiment dommage.