Sexy no jutsu
Les jeux nippons possédant du fan-service il y en a gogo. Senran Kagura en fait partie : des shinobis féminines doivent mener leur entraînement et leur vie d'adolescente. Deux écoles surtout se...
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le 29 févr. 2020
Les jeux nippons possédant du fan-service il y en a gogo. Senran Kagura en fait partie : des shinobis féminines doivent mener leur entraînement et leur vie d'adolescente. Deux écoles surtout se défient : Hanzo et Hebijo. La seconde représente l'école de l'ombre, à savoir des mercenaires payées pour accomplir le sale travail. Le jeu permet de jouer dans les deux écoles et ainsi avoir les deux versants de l'histoire. Chaque personnage a droit à un background piochant tout de même dans certains archétypes, on ne va pas s'en cacher. Senran Kagura ne cherche nullement le réalisme et assume son univers décalé où des adolescentes possèdent des pouvoirs de ninja démentiels.
Le gameplay est dans la droite lignée de cet univers. Chaque protagoniste possède ses propres coups spéciaux et se spécialise dans un domaine que ce soit les coups à distance ou en corps-à-corps. En plus des arts ninja secrets, les personnages peuvent entrer en mode Shinobi (nécessaires pour l'utilisation des arts ninja, autrement dit les coups spéciaux) ou Frénétique. Ce dernier s'active dès le début : la shinobi finit en lingerie mais voit ses coups plus puissants et peut utiliser directement ses arts ninja.
Senran Kagura est un jeu ecchi et ne s'en cache pas. Les personnages peuvent voir leurs vêtements se déchirer à force de recevoir des coups, voire finir nues. Mais la censure nippone est là masquant toute trace de téton et de vulve par du tissu ou carrément des halos lumineux. Dans cet opus, le fan-service se manifeste surtout durant les combats et reste "soft" comparé à bien d'autres jeux nippons.
Sans être révolutionnaire, Senran Kagura est un beat them all offrant un bon défouloir et dont l'aspect coquin n'est pas là pour combler les trous d'un jeu moyen. L'histoire a même le mérite de donner sa place à chaque personnage et à concevoir une intrigue qui tourne avant tout autour de l'univers des shinobis. Nombre de jeux coquins eux resteraient cantonnés à des blagues vaseuses (même si on a Katsuragi qui joue le fameux rôle de la fille qui aime peloter ses compatriotes). Et pour les chasseurs de platine, ce dernier demeure très accessible et s'obtient en maximum vingt-cinq heures de jeu.
Créée
le 29 févr. 2020
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