144 pièces de majhong sont disposées aléatoirement. Chacune est dotée d'un symbole et disparaissent si vous parvenez à les regrouper en pairs. Plus qu'un exercice visuel, le jeu vous demandera également une part de réflexion: certaines pièces se superposent et vous n'avez accès qu'à celles du dessus. Quant aux décors, n'espérez pas en voir un seul durant votre partie, l'ensemble du jeu se déroulant sur un écran vert (le fameux tapis de mahjong). Voilà comment résumer Shanghai.
Personnellement, je n'ai rien contre ce genre de jeu mais son austérité et sa redondance le rendent très dispensable, en particulier sur une machine comme la PC Engine qui regorge de merveilles en tout genre.