Sherlock Holmes: Chapter One par MouchiUwU

Avant toutes chosses je précises que je n'ai fait que l'histoire principal je n'ai fait AUCUNE quête secondaire ni AUCUNE activité annexe.

Donc Sherlock Holmes Chapter One. Faut savoir un truc j'ai jouer a très peu de jeu Sherlock Holmes de Frogware (The Devil Daughter et Crimes & Punishment) Je ne suis donc malheuresement pas une experte sur le sujet. MAIS sachant que ce sont les opus les plus récent avant lui, je risque de les comparer vous êtes prévenue ! Maintenant on peux commencer notre critique. ET COMMENCANT PAR LES POINT NEGATIS

Points négatifs

Commençons par ce qui fâche : le monde ouvert. Ce choix semble une erreur pour un jeu basé sur l’investigation. Le monde ouvert n'apporte finalement rien de plus qu'un moyen d’aller d’un point A à un point B, en déclenchant au passage quelques quêtes secondaires, mais sans grande importance. Contrairement à l’approche plus traditionnelle (par la je veux dire ce que j'ai pus constater dans les deux jeux auquel j'ai jouer.) des anciennes zones semi-fermées où l’on pouvait se téléporter entre les lieux d’enquête, ici, la navigation devient vite une corvée.

Les intérieurs, en revanche, sont très réussis et recréent parfaitement l’ambiance des enquêtes. Cela renforce l'idée que le monde ouvert, avec ses vastes zones extérieures, est simplement là pour ajouter du contenu inutile, là où une structure plus concentrée aurait mieux convenu.

Et parlons des combats... Une vraie erreur d’ajout. Ils sont répétitifs et ennuyeux ! Heureusement, seuls deux combats sont obligatoires dans l’histoire principale. Pour le reste, ils peuvent être évités, et c’est probablement pour le mieux. Les mécaniques de ces scènes d'action, où il faut tirer sur des éléments du décor ou distraire les ennemis pour ensuite les assommer, sont mal exécutées. L'idée de ne pas tuer est intéressante, mais le résultat est trop mou et redondant. (vous voulez un exemple ? (VOUS VOULEZ UN EXEMPLE ? TRES BIEN : POUR ARRETER UN TYPE, TIRER SUR SON CHAPEAU POUR LUI FAIRE PEUR.)

De plus, certaines fonctionnalités sont grandement sous-utilisées. Prenons par exemple l’appareil photo que l'on porte tout au long du jeu. On pourrait penser qu'il serait important pour les enquêtes, mais il n'est utilisé qu'une seule fois dans toute la campagne principale. C’est le genre de détails frustrants qui laissent penser que le jeu aurait pu mieux exploiter ses outils. (encore une fois j'ai fait aucune quête secondaire)

Ah et je rajoute ca ici. DES QUETES SECONDAIRE EN DLC.

Points neutres

L’histoire principale n’est pas très longue. Elle est divisée en une enquête principale qui sert de fil rouge, ponctuée de quatre autres enquêtes annexes, chacune liée à des souvenirs de Sherlock. Chaque enquête dure entre 1 à 3 heures, (ce qui n'est pas un mal. Le jeu sais donc quand s'arrêté)

Points positifs

Cependant, malgré ces défauts, Sherlock Holmes: Chapter One possède des qualités indéniables. Visuellement, bien que ce ne soit pas une claque graphique, le jeu reste agréable à regarder et les environnements sont suffisamment beaux pour s’immerger dans l’histoire. Les enquêtes sont toujours aussi bien scénarisées et demandent une vraie réflexion, comme dans les précédents jeux de Frogwares. L'histoire, bien que courte, est bien écrite, captivante et propose des personnages attachants. Les antagonistes sont eux aussi bien travaillés, ce qui rend chaque confrontation intéressante sur le plan narratif.

Un autre point positif est la rejouabilité. Le jeu propose de nombreux choix au cours des enquêtes, notamment sur la fin des affaires, et il est possible de se tromper. Contrairement aux précédents jeux de la licence, si vous accusez la mauvaise personne, le jeu ne vous le dira pas explicitement. Cela crée une tension intéressante, même si cela peut également frustrer les joueurs qui cherchent des validations claires de leurs choix.

Conclusion

Alors, est-ce que je recommande Sherlock Holmes: Chapter One ? Oui, mais avec quelques réserves. Il ne faut pas s’attendre à un chef-d'œuvre, mais à un bon jeu avec ses hauts et ses bas. Son histoire est magnifiquement racontée, et le fil rouge est l’un des meilleurs de la licence. Toutefois, si vous cherchez l’expérience Sherlock Holmes ultime, je conseillerais plutôt de vous tourner vers The Devil’s Daughter ou Crimes & Punishments, qui maîtrisent mieux leur formule et évitent les écueils du monde ouvert et des combats forcés.

Surtout, n’oubliez pas d’utiliser le voyage rapide. Vous en aurez besoin, croyez-moi !