Splatoon 2 débarque à grandes eaux et éclaboussures sur la Switch. N'ayant jamais joué au premier opus, j'ai découvert un univers très dynamique et agréable.
La prise en main étant facile, les gâchettes fument très vite. On est rapidement plongés dans l'action : les modes de jeux (trois, principalement) restent très basiques mais captivants. Pour ma part, j'ai surtout traîné mes tentacules baveuses dans les matchs en équipe. Le système y est plutôt clair et addictif : matchs en équipe jusqu'au niveau 10 pour entraîner la prise en main puis matchs à objectifs coopératifs par la suite (en pick up puis entre amis pour les matchs à rang plus élevés).
Mort aux seaux.
Ce doux titre qui sent la moule et l'iode comporte deux gros bémols : l'absence de mode coopératif local ainsi que le manque de contenu personnalisé.
En effet, quelle déception de devoir faire tourner la manette faute de mode coopératif local. Et oui, impossible de jouer à deux voire plus sur la même console. Chez les calamars, un joueur = une console, point. Choix très discutable pour une firme qui prône la convivialité...
Concernant les contenus, c'est très léger : quelques maps qui tournent en boucle (alternance toutes les deux heures). De même pour les armes et les tenues, c'est plutôt pauvre : deux casquettes, un bonnet, même pas un maillot de bain sexy. Des ajouts devraient arriver via les mises à jour.
On guettera donc l'évolution de l'univers au fil du temps...
Les gens qui jouent au rouleau n'ont pas d'âme.