Un dragon toujours dans les cieux !
Pas grand chose à dire sur ce troisième opus si, ce n'est que pour moi, il se situe entre le premier et le second.
Question nouveautés, nous avons juste des phases en skate (amusantes) et le fait de contrôler d'autres personnages que Spyro (le kangourou Sheila, le pingouin volant Byrd, le yéti Bentley, le singe Agent 9 et même la libellule présente depuis le début de la saga, Sparx). Tout cela apporte de la fraîcheur à un gameplay qui se trouve identique au jeu précédent. D'ailleurs, Spyro 3 se veut être une copie bien plus travaillée du 2, gardant au passage tous les détails de ce dernier : graphismes toujours d'aussi haute volée (cartoonesques, jolis, fluides), le doublage français, les bruitages, le gameplay, le bestiaire d'ennemis... Bref, tous les point forts, mais également les faiblesses qui, pour le ressouligner, était une ambiance enfantine moins enchanteresse (Stewart Copeland, bien que ses musiques s'accordent toujours à l'univers du jeu, n'arrive pas à retrouver la magie du premier opus) et une simplicité à moitié effacée (gameplay, décors, histoire...).
Et pourtant, Spyro : Year of the Dragon est bien meilleur que Gateway to Glimmer sur un seul point : il est plus fun ! Avec ses nouveaux personnages à contrôler, sa loufoquerie plus travaillée, les nombreux mini-jeux proposés et plein d'autres détails, ce troisième opus se montre à la hauteur et reste un jeu que l'on doit avoir joué au moins une fois dans sa vie !