Taxi 3 ou Comment planter des navets a Marseille .

Bon , soyons clair, un jeu d'une licence française publiée par un studio Québecquois (Ubisoft Montréal), on peut s'attendre a un peu de respect de la langue et du contenu . Dommage , c'est loupé.

Bon , le principe du jeu est simple : course en ville (ou au Ski) avec (ou non) petits objectifs : Contre la montre, course , Slalom etc. Jusqu’à là, jeu de course Lambda .
La voiture reste "conductible", mais le moindre choc vous fera découvrir les joies d'une Hitbox bien mal codée. Passons. Les décors sont laids sans être les pires que cette console est eu à afficher.
Après chaque course, petite amélioration de votre voiture (se résume en fait a une augmentation de la Vitesse Max. de votre carriole, ainsi que la durée du Boost).
La difficulté maximum contentera peut-être votre fils de 5 ans, mais passé cet âge, toutes les courses se font du premier coup , sans aucun effort.
Bon , c'est un jeu moyen , voilà tout. Mais le plus gros problème de cet infect étron, c'est bien son nom : Taxi 3 . On s’attend donc a des dialogues du film , des courses avec clients, une ville de Marseille pleine de bouchons, un Taxi personnalisable, etc...
Oubliez tout cela, mis a part une histoire suivie de loin par le jeu (déjà que le script du Film était limite, mais là...), quelques cinématiques tirées du film (allez, grand max. 3 minutes de film) on oubliera assez vite Daniel, Émilien et le Commissaire Gibert (On ne les voient même pas en fait) , et on lasseras très, très vite de ce jeu dont même la durée de vie ( Pas même une heure pour boucler le mode Histoire) n'arrivera à relever le niveau.
Avis aux collectionneurs seulement, car acheter cette bouse ressemble doucement a du Bondage SM.