Le jeu était considéré comme moyen à l'époque de sa sortie et d'une légère daube depuis. L'ayant acheté à sa sortie après avoir eu un orgasme sur le film au cinéma, c'est donc avec un oeil de fan aveugle et et pré-ado que j'enfourne la cartouche dans la boîte grise. Je n'ai pas honte de dire que j'ai bien aimé malgré ses nombreux défauts. Difficulté assez costaud au fur et à mesure qu'on avance, mais rien d'insurmontable non plus, il faut avoir la technique. La barre de vie décline très rapidement si on ne fait pas attention, même avec des gus armés de bâtons. Laborieux au départ où on tape comme un demeuré avec ses deux poings, on finit par être armé avec les munitions limités, contrairement aux ennemis qui reviennent indéfiniment à partir du niveau de l'hôpital. Il faut connaître par coeur et tirer avant même que les ennemis arrivent. Le niveau de la moto avec la course et le camion est connu pour être injouable, pas eu de difficulté majeure dessus personnellement. Pour l'hosto, c'est trouver la carte qui permet de passer chaque étage en fouillant les pièces. On passe à cyberdine où il faut prendre tous les sacs explosifs et les déposer pour les faire sauter plus tard avec le temps compté. Puis on arrive au dernier niveau à la fonderie où il faut affronter le T-1000 deux fois pour qu'on puisse continuer et le final dans le feu en fusion. Quand j'y repense, c'est presque en effet un exploit de le finir, mais avant, on était habitué à ce niveau de difficulté. Je l'ai refait depuis via émulateur, et sans la sauvegarde auto via un bouton, je pense même pas passer le second level...Terminator 2 fait parti de ces jeux qu'on est fier d'avoir terminé mais qu'on est désormais incapable de réitérer.