Un puzzle game dont l'originalité repose sur le fait de contrôler le temps qui s'écoule et pas le déplacement des personnages. On joue donc avec l’écoulement du temps, avançant et reculant pour résoudre des énigmes simples, comme taper un code sur clavier sur lequel les enfants marchent ou encore figer une goutte d’eau le temps qu’elle provoque un court-circuit, ce qui allume une ampoule supprimant un mur de brume.
Au final, on se retrouve avec un bon concept, un visuel sympa, mais aussi une difficulté assez basse et surtout une durée de vie super courte.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Terminés en 2018 (version PC), 100% et J'ai aussi testé ça pour JeuxOnLine
Créée
le 23 sept. 2018
Critique lue 366 fois
3 j'aime
D'autres avis sur The Gardens Between
Retrouvez ce test sur mon site : https://www.cosmo0.fr/critique/the-gardens-between/ Je viens vous parler d’un jeu fort sympathique. Un jeu dont les visuels m’avaient beaucoup plu avant la sortie,...
le 2 nov. 2018
2 j'aime
Rapide retour sur ce petit jeu très sympa que je viens de terminer. The Gardens Between est un titre au concept assez original dans lequel on vous passe la zapette pour choisir de mettre l'action en...
Par
le 30 sept. 2018
1 j'aime
Petit jeu puzzle sympa avec une mécanique orignal. On ne fait pas avancer les deux héros, mais on contrôle le temps. Les événements se déroulent devant nous et on peut interagir avec certains...
Par
le 2 janv. 2024
Du même critique
Oubliés les héros au service du bon droit, protecteurs de la veuve et de l'orphelin. Dans La Compagnie Noire, on ne retrouve que des mercenaires. Peu importe ce que l'on a fait auparavant lorsque...
Par
le 2 nov. 2010
8 j'aime
5cm par seconde, c'est la vitesse à laquelle tombe les pétales d'un cerisier. Voilà qui donne le ton de cette petite pépite de l'animation japonaise. Tout y est affaire de contemplation dans cette...
Par
le 15 déc. 2010
5 j'aime
Je l'avoue, ce tome de la Compagnie Noire m'a fortement déçu. Au travers des récits de Murgen, Glen Cook nous fait nous sentir aussi dépaysé que son narrateur par les fréquents "malaises" dont est...
Par
le 3 nov. 2010
4 j'aime
