I don't want it to be the last
Réalisateur, il ne l'était plus depuis Final Fantasy V. Hironobu Sakaguchi a décidé de faire son grand retour à ce poste clé de la production avec la dernière mouture de son studio : The Last Story. On connait l'homme, son goût pour les belles histoires bien contées, son penchant pour le médiéval et les récits de chevalerie. On sait également l'expérience qu'il a accumulée au fil des années dans le domaine du J-RPG. L'ancien gourou de Square Enix est-il seulement rouillé après tant d'années à l'écart de la réalisation ? Il n'y a qu'un moyen de le savoir...
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The Last Story c'est l'art de conter une histoire. Seuls les meilleurs parviennent à nous faire vivre des instants féériques, épiques et parfois homériques avec la seule puissance de la narration, de la bande-son et de l'univers, au détriment de l'originalité. Par ailleurs, la manifeste maitrise de Mistwalker se traduit dans le cœur du jeu : son gameplay. The Last Story polarise, synthétise et assimile des années de RPG et d'action-aventure dans son système de combat hybride et délectable. Avec son mode en ligne et son post-game, le soft continue de nous gâter et de nous faire profiter de la sagesse qui l'anime. Les points noirs sont d'ordre technique, et comme le dirait Hironobu Sakaguchi : les développeurs se préoccupent trop des graphismes en lieu et place de l'expérience de jeu.
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