L’ergonomie limitée de la game boy, avec ses deux uniques boutons, oblige à accéder en permanence à l’interface. Ce qui était acceptable en 1993 ou 1998, s’avère pénible aujourd’hui. C’est bien le seul problème de ce Zelda au level design excellent. Les donjons, à la difficulté admirablement gérée, sont parfaits. Un épisode un peu à part puisqu’il ne se déroule pas à Hyrule et nombre de personnages emblématiques sont absents. La version DX pour la game boy color y ajoute quelques bonus sympathiques (notamment un donjon, assez linéaire, et un photographe rigolo).