C'est par une belle matinée que le pauvre « CocoBot » (copyright moi-même) se fait capturer par une étrange machine qui l’entraîne malgré lui au plus profond des entrailles d'une planète a mi chemin entre machine et organisme vivant.
Troublé et relativement désorienté, on commence a rechercher une sortie, on tâtonne et suis désespérément le tortueux boyaux qui nous mène vers une destination inconnue. Inconnue notre destination ne l'est pas totalement, bien évidement nous voulons retrouver la surface et pour ce faire il faudra passer au-travers des nombreuses énigmes qui parsèment notre parcours.
Les énigmes ne sont malheureusement pas très difficile et on traverse le jeu sans buter réellement sur la résolution de ces dernières. L'autre chose sur laquelle notre esprit ne butera pas et le scénario. Il est tout simplement inexistant. C'est vraiment très frustrant surtout si vous êtes comme moi et aimer que l'on vous conte des histoires lorsque vous jouer.
La réalisation est excellente, notre rétine est flattée comme il se doit durant toute la durée de vie d'Unmechanical, autant vous dire qu'elle sera flattée peu de temps, il m'a fallut à peine trois heures pour aller au bout.