Histoire/Scénario : Il n’y a pas vraiment de scénario ici, juste un prétexte. Comme toujours, Wario part à la recherche d’un trésor, ce qui va nous amener à traverser différents niveaux ou mondes jusqu’au but final. Il y a toujours un peu d’autodérision et d’humour.
Musique/Son : Une très bonne bande son, de qualité, très variées, avec même des chants.
Visuel/Réalisation : Visuellement le jeu est très beau, très coloré, très détaillé, avec des environnements très variés et le design est bien pensé. Il y a un gros travail sur l’animation qui est remarquable.
Acteur/Doublage : Quelques onomatopée, mais pas de vrais doublages.
Gameplay/Maniabilité : On est face à un jeu de plateforme assez simpliste dans ces commandes mais qui reste très efficace. On dirige Wario, il peut courir, sprinter, sauter, nager, lancer les ennemis…. Le jeu est divisé en plusieurs « mondes », qui sont eux-mêmes divisés en niveaux. A chaque fin de niveau on se bat contre un boss. Le but de chaque niveau est de trouver la clé qui ouvre la porte vers le niveau suivant mais aussi de trouver les pierres précieuses permettant d’ouvrir la porte du boss. Lorsque l’on se retrouve dans un niveau, on explore ce dernier de fond en comble, on combat des ennemis et à la fin du niveau, on trouve une espèce de sablier. En l’activant, on doit repartir jusqu’au début du niveau, souvent en passant par de nouveaux chemins ouvert grâce à l’activation. On récolte des pièces, des pièces précieuses permettant de monter le score. Il y a également des salles spéciales où il faut résoudre une espèce d’énigme pour gagner un trésor. Wario va pouvoir se transformer, souvent à son insu, de plusieurs manières et c’est souvent l’occasion de passer certains passages des niveaux (chauve-souris, zombie…).
Avis : Un très bon jeu de plateforme, un très bon Wario Land, très addictif.