200 albums soul

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Très bel album ! Etta James a une magnifique voix.

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Sympathique album de soul instrumentale, mais au vu de sa réputation, je m'attendais à quelque chose de plus marquant... Il reste néanmoins agréable à écouter.

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Du bon Marvin Gaye première époque, mi crooner mi soulman. Le son Motown est moins présent (ces arrangements parfois envahissants), ce qui n'est pas pour me déplaire.

Premier vrai album qualitatif pour Marvin, premier à pouvoir être en partie qualifié d'album soul, sa carrière a décollé à partir de cet opus (le second à être enregistré pour la Motown).

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Premier album de Sam Cooke que j'écoute. J'ai bien aimé, mais le côté crooner et soul rétro, un brin sirupeuse, n'est pas ce que je préfère. Ça manque un peu de rugosité. Si je le compare à un de ses illustres contemporains, ma préférence va largement à Otis Redding. Mais sans doute dois-je écouter d'autres disques de Sam Cooke pour avoir un avis plus juste.

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17 avril 1964

Très bel album, mix entre pop 60's et blue eyed soul. Dusty est particulièrement en voix, avec des chansons sophistiquées qui exploitent tout son talent vocal.

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Excellent album de soul, dans lequel les voix de Jerry Butler et Betty Everett se marient très bien. Nous sommes en 1964 et donc dans de la soul plus classique. Butler sortira quelques années plus tard en solo des albums davantage réussis, avec des chansons plus abouties. Mais celui-ci est déjà fort agréable et vaut la découverte.

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Du très bon ! Je préfère cet album aux essais solo de Diana Ross, même si ceux-ci ne manquent pas d'intérêt.

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Novembre 1964

Un bel album de southern soul. A cette occasion je découvre Solomon Burke, une bonne incitation à creuser sa discographie.

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Otis EST la soul. Un album qui regorge d'émotion et de sensibilité. Il me faudra encore un peu de temps pour apprécier à sa juste valeur la southern soul, j'ai eu un coup de cœur plus immédiat pour le son Motown. Mais j'ai de quoi faire, rien que le catalogue Stax est monstrueusement impressionnant, de belles heures d'écoute en perspective.

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1er novembre 1965

Peut-être plus R&B que soul, un bel album.

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A réécouter

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Un bon album de soul, mais un peu trop classique pour moi. À la même époque, son frère Jerry a sorti des albums beaucoup plus marquants, tandis que Billy sortira en 73 avec Infinity un excellent album de soul, au son plus 70's.

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16 novembre 1966

Stevie Wonder entame sa deuxième partie de carrière, entre R&B old school et quelques prémices de soul. Ça reste encore très classique, mais c'est néanmoins très appréciable. La voix de Stevie est magnifique, et les chansons comme les arrangements d'une grande qualité, alors qu'on commence à voir la personnalité de Stevie poindre sous le classicisme de la composition, ça et là agrémentée d'harmonies originales.

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21 mars 1967

Premier album solo d'Al Green et déjà un très bel essai, qui n'a rien à envier avec Al Green Gets Next To You, l'album qui a fait décoller sa carrière.

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10 juillet 1967

Je crois que je suis tombé sous le charme des chansons d'Otis Redding et de sa voix. Un excellent album live, tiré de la tournée en Europe des artiste du label Stax. Le public leur a fait un accueil triomphal, et Otis le leur rend bien.

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A mon sens, un cran au-dessus de You're All I Need. Les voix de Marvin Gaye et Tammi Terrell se marient toujours aussi bien, et les chansons sont plus abouties et entraînantes. Un bon album !

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26 octobre 1967

De la southern soul de la grande époque, par deux chanteurs habités de l'écurie Stax. Que du bon.

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1968

Les débuts de Terry Callier ne laissent pas encore tout à fait imaginer ce que sera la suite de sa carrière (si l'on peut utiliser ce terme pour qualifier son parcours quelque peu chaotique). Avec cet album aux sonorités folk, difficile d'anticiper que Callier réalisera des albums plus soul avec de riches arrangements par la suite.

Mais dès ce premier album, on perçoit toute l'originalité de la démarche de Callier : se réapproprier le folk et le mêler à ses influences blues et soul. Son jeu de guitare et sa voix s'épanouiront encore davantage par la suite, et l'absence d'autres instruments rendent ce disque peut-être un peu aride, néanmoins on est captivé par Callier, qui nous fait penser, pêle mêle, à Nick Drake, Arthur Lee de Love ou même les Doors, avec ce folk aux relents de psychédélisme.

Un vrai bon album, mais Callier en réalisera des encore meilleurs au début des années 70.

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Août 1968

Il n'y a pas à dire, c'est bien chanté, les voix de Marvin Gaye et de Tammi Terrell se marient bien, c'est bien produit... Mais ça reste terriblement lisse, surtout quand on compare cet album au chef-d’œuvre de Gaye « What's Going On ». On comprend que le projet de Gaye de produire un album engagé ait perturbé la Motown, maison de disques plus habituée à des albums de soul un brin édulcorée et commerciale...

Fort heureusement, Marvin Gaye a tenu bon et a signé l'un des plus grands albums de tous les temps. Avec « You're All I Need », rien ne présage du chef-d’œuvre à venir, on est encore loin de l'originalité, de la sincérité et de la profondeur de « What's Going On ». Un opus appréciable en somme, mais mineur.

Pour comparer ce qui est comparable, c'est un album similaire à ce que faisait Stevie Wonder dans sa deuxième partie de carrière, quand, jeune adulte, il signait des disques R&B/soul classiques assez sirupeux. Avant qu'il ne se métamorphose en génie de la soul avec son premier grand album « Where I'm Coming From », sorti en 1971.

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THE album des 2 premières parties de carrière de Marvin Gaye (avant What's Going On donc), quand il faisait de la soul plutôt « classique » et « rétro ». Particulièrement en voix ici, il bénéficie de mélodies finement ciselées et de grande qualité. Avec bien sûr le hit I Heard It Through The Grapevine, l'arbre qui cache la forêt, tant cet album regorge de pépites.

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Novembre 1968

Après de nombreuses réécoutes, ce disque s'impose comme l'un des meilleurs albums de soul que je connaisse. La plupart des titres sont excellents, et certains sont fabuleux, comme le célèbre Never Give You Up ou Are You Happy. Du très très lourd.

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29 novembre 1968

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18 janvier 1969

Du lourd ! Je découvre Dusty Springfield et sa magnifique voix, à la fois douce et puissante, joliment voilée. Et puis quels arrangements ! La voix de Dusty est particulièrement bien mise en valeur dans ce bel écrin, les producteurs lui ont déroulé le tapis rouge.

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Avril 1969

Après avoir écouté plus attentivement Otis Redding, ce genre d'albums paraît tout de suite beaucoup plus fade :-). C'est de la soul en mode easy listening, ou pop soul, un genre fort sympathique, certes, mais qui manque un peu de corps. Résultat : cet opus est assez anecdotique dans la discographie de Curtis Mayfield, pourvue d'albums autrement plus marquants. Pour autant, ça reste un bon album de soul.

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Encore un bon album d'Al Green, le second qu'il publie en solo. Il dénote dans la discographie de Green par quelques reprises de morceaux célèbres, dont certains des Beatles. Des reprises sympathiques, mais qui en font un album peut-être moins personnel... quoique réjouissant !

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Pas hyper fan du funk foutraque de Sly Stone et sa bande (les presque 14 minutes d'impro de Sex Machine ont du mal à passer...), mais il faut bien avouer que cet album comporte de bonnes chansons. Il faudra sans doute que je le réécoute encore pour me faire à leur musique si particulière.