2014 (films vus)

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Troisième de mes tentative, je crois. Avec Rohmer, il faut faire l'effort de se débarrasser de ses habitudes filmiques et accepter l'économie de moyens (ceux d'un téléfilm), un jeu d'acteur particulier parfois agaçant (Béatrice Romand, agressive et tête à claque) et, ici, un récit non linéaire. Marie Rivière passe ses vacances à Cherbourg, à la montagne, autant d'épreuves, d'échecs répétés et de retours au point de départ (Paris). Le film s'achève à Biarritz et Saint-Jean de Luz avec l'émouvant rayon vert. Appréciables les réflexions sur le pari pour l'avenir (attendre le bon, l'Amour), le destin, le flou entre vérité et illusion. Ah et le sens du cadre et cette légèreté!

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Amusant cette ode au mensonge donnant un peu de fantaisie à la vie, de retrouver Luchini jeune (et pas encore cabotin sur les plateaux TV), l'adolescence attardée de son personnage. J'ai surtout aimé la légèreté et la liberté du film, qualités qu'on retrouve rarement, il me semble, aujourd'hui.

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Pas de mise en scène dans les Rohmer? Pffff, que de beaux plans dans ce second long métrage d'Eric Rohmer, une beauté à tomber par terre. Très difficile de tout bien comprendre dans "La collectionneuse". Une voix off semble devoir éclairer le spectateur. Que nenni ici : le narrateur (Patrick Bauchau) se perd et nous perd par la même occasion dans ses introspections, dans le faux, le vrai... Haydée reste un mystère.

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Un Rohmer "typique" (le thème du hasard et de la fortune) mais peut-être pas le plus engageant (le pari pascalien, le calcul des probabilités, le jansénisme, le catholicisme) mais toujours stimulant pour l'esprit et léger (j'aime ce mélange). Néanmoins, je préfère le Rohmer "cinéaste de l'environnement" (Conte d'été, Pauline à la plage, Le rayon vert etc.. Ici, le film est "étouffant" avec ses décors (le restaurant, la chambre de Maud). Très joli n&b et acteurs chevronnés (Trintignant, Fabian, Vitez) qui s'intègrent très bien dans l'univers rohmérien. Film à rapprocher avec le rayon vert : ne vaut-il pas mieux attendre même si les chances sont minces pour trouver l'homme ou la femme de sa vie? (application du pari pascalien).

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Film du dimanche soir avec des passages ratés voire ridicules. Heureusement, vu que d'un œil en lisant ma Guerre du Péloponnèse. Jeff Daniels pas bon du tout.

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Une robinsonnade à la sauce hollywoodienne donc un film pour enfant, mais pas déplaisant, la fin (le retour de Tom Hanks) étant tout de même trop convenue : on s'ennuie. Par contre, les 2/3 du film (sur l'île) ne sont pas trop mal. J'aurais aimé un parti pris plus réaliste (plus sauvage, plus impressionnant). Néanmois, la solitude de "Robinson" est heureusement abodée : comment tenir, seul, sur une île désert, sans être vu par quelqu'un, sans le sentiment d'exister? Tom Hanks choisi alors de créer un ami avec un ballon de volley à défaut d'un Vendredi amical dans les parages.

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Comédie sans scénariste, sans réalisateur, sans idées, sans act...ah si, ils sont là, ils ont ponctionné tout le budget....

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Le style du coréen (jeu avec le zoom), les dialogues m'ont ennuyé. Abandon du film peu après la demi-heure. Répéter les mêmes situations avec des variantes me semble, ici, une mauvaise idée : sentiment d'indécision, de brouillon que donne le réalisateur, c'est assez désagréable.

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Film moyen, moyen, bofbof, mais surement représentatif de la jeunesse fin des années 70 s'évadant comme ils peuvent leur quotidien morne (sorties, sexe etc). Aimé voir le "vieux" New York dans certaines scènes.

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Des images spectaculaires (la Terre vu de l'espace) qui aurait méritées un propos plus "métaphysique" ou simplement contemplatif. Finalement, on se retrouve avec un film d'action ou catastrophe. Efficace mais vite oubliable.

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Une succession de sketches sur le thème de la quête de l'identité sexuelle avec très peu de cinéma. Galienne ? Almodóvar s'il n'avait pas de talent. De la vulgarité par moments. Psychologie de bas étage. On avoue avoir souri deux- trois fois mais avec la sensation' de perdre son temps.

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Un policier à la française filmé façon téléfilm : on pense beaucoup à Olivier Marshal (pas une référence). Louis Bertignac à la guitare se prend pour Neil Young compositeur de Dead Man. À part ça? Rien.

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Films pour enfant. Spielberg pas inspiré. On s'ennuie. Rien à en tirer

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Film pour enfants (bis). "Divertissant" mais très laid.

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Un film "jetable". L'énigme révélé, on passe à autre chose avec une petite impression d'avoir perdu son temps. Rien ne vaut une seconde vision.

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Un film pour soirée pop corn. Manque d'originalité : on s'ennuie.

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Film familial à contre-courant du jeunisme actuel (surtout dans le cinéma) ce qui le rend sympathique.

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Un film des années 90 réalisé en 2006. Allez comprendre...

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Film d'action assez distrayant. Rythmé, efficace.

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Un peu du n'importe quoi mais on dira que ça passe encore.

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Du n'importe quoi bis mais là ça ne passe plus : on est dans un jeu vidéo, le personnage a trente six mille vies. On baille.

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Au bout de trente minutes le film épuise tout son potentiel comique. Après, il rame. Tous les comédiens sont ici nuls sauf Christian Clavier. Un film qui plaira à la jeune génération fan de Djamel Debouzze and co ou aux nostalgiques de Michel Leeb.

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Encore un film qui tient seulement par une astuce scénaristique tirée jusqu'à plus soif. Il fait beaucoup penser au "Jour le plus long", à "Un jour sans fin" et aux jeux vidéos modernes où il faut canarder des heures durant.

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Film hollywoodien fade (bêtement une histoire avec un début, un milieu, une fin, sans vision artistique ou critique).

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Idiot et vulgaire.