2016 annoté

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02/01
Cinéma VF
Le film passe toujours aussi bien la deuxième fois, on est même plus attentifs aux flash de Rey, aux petits détails et aux personnages secondaires amusants. Le réveil de la force est tellement réussi qu'on est toujours aussi émus au deuxième visionnage. Prochaine étape : la VO !

12/08
(VOSTFR)

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03/01
(muet)
Le film place le spectateur dans une position assez délicate. D'un côté j'ai été impressionnée par la maîtrise de Griffith, par le jeu de Lillian Gish, Henry B. Walthall et Miriam Cooper, et en même temps, regarder un film qui fait l'apologie du Ku Klux Klan reste une expérience plutôt dérangeante. L'approche n'est pas certainement pas conventionnelle, mais j'ai décidé de considérer pour ma notation que cette histoire traite juste de trois clans qui s'opposent (d'abord nordistes et sudistes, ensuite blancs et noirs), et non pas de racisme de la part de son auteur qui adapte un roman traitant de l'Histoire américaine. Bref, c'est compliqué, mais c'est un cinéma réussi.

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03/01
(VOSTFR)
Haha mais que c'est mauvais. Paulo il faudrait que tu comprennes que tu ne peux pas juste ignorer le bon-sens et la logique parce que ça t'arrange pour écrire tes deux lignes de scénario. Il faudrait aussi que quelqu'un t'explique que les ralentis à tout bout de champ ça suffit maintenant. Et puis tant qu'à faire, évite d'engager le beau Kit Harrington pour jouer dans ton navet, il mérite mieux pour ses débuts cinématographiques. Parce que oui, il ne faut pas que tu te leurres, les deux points que je t'ai donné, c'est juste pour lui. ♥

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04/01
Gulli (VF)
Bon il est certes un peu tard pour regarder un film de Noël, mais autant le regarder maintenant que dans six mois ! Sinon le film vaut ce que vaut un petit téléfilm anglais de Noël, racontant les déboires d'un professeur organisant une comédie musicale sur la nativité. C'est mignon, c'est niais, il n'y a bien que Martin Freeman qui s'en sort sans trop de casse. Mais les chansons originales sont sympathiques, la scène finale de la représentation est réussie, et les enfants sont trognons. Aussi, David Tennant est dans la suite, et ça c'est pas mal !

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04/01
(VOSTFR)
Rien de nouveau depuis le premier visionnage, si ce n'est que les traits d'humour qui étaient lourds au cinéma passent beaucoup mieux en langue originale. Rien à redire sur le charisme d'Ultron lorsqu'il a sa "vraie" voix. Il n'empêche que le film a encore de nombreux défauts, de nombreuses scènes de trop et au contraire trop de moments bâclés. Je n'ai à aucun moment retrouvé la magie du premier Avengers. Le Blu-ray comporte quelques scènes inédites vraiment intéressantes, comme l'explication de comment Scarlet Witch et Quicksilver ont été convoqués par Ultron la première fois, ou une version rallongée de la vision de Thor, qui montre qu'en fait, savoir l'avenir n'était pas si facile que ça pour le Dieu Asgardien.

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05/01
Cinéma (VF)
Il faut dire que je n'en attendais pas grand chose, le résultat a été à la hauteur de mes attentes. Ce n'est pas le film du siècle mais il s'avère passionnant -et compliqué- si on s'intéresse un peu à la crise des subprimes. Les parties explicatives sont vraiment bien illustrées, et les concepts économiques les plus abstraits deviennent immédiatement plus clairs lorsqu'ils sont ramenés à de la cuisine ou à une partie de poker (ou à Margot Robbie). En tout cas les acteurs sont tous excellents, bien qu'aucun de leurs personnages ne soit moralement irréprochables, assez sympathiques. C'est un film qui révolte et qui énerve, mais qui balance en contre-partie pas mal d'humour pour faire passer la pilule. Quels enf**rés ces banquiers !

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06/01
Cinéma (VOSTFR)
Excellent. Forcément. C'est tout ce qu'on attend d'un Tarantino, avec un casting parfait en plus !

16/08

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07/01
(VOSTFR)
Et vas-y qu'on fait passer les loups pour des immondes bêtes mangeuses d'homme, et qu'on rende cool le fait de les tuer à la chaîne ! Et vas-y qu'on te propose des personnages tout plein de testostérones mais aussi très mal écrits ! Finalement beaucoup finissent par y passer, tant mieux, ça rend le film moins insupportable. Surtout que, soyons honnêtes, nous savons très bien qu'une certaine personne va très bien s'en tirer (ou pas ? Suspense...!). Ce film est interminable. Il faut bien que les loups nourrissent leurs petits ? Est-ce que quelqu'un y a pensé ? Un bon film pour passer le temps pendant qu'on rattrape sa pile de reprisage en retard.

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09/01
(VF)
Ha mais c'est vraiment n'importe quoi ce film ! À une époque j'aurais juré détester, mais depuis que Ben Stiller m'a fait changer d'avis sur son cinéma grâce à Walter Mitty (magnifique), j'étais prête à laisser sa chance à "Zoolander". Finalement c'est une critique délurée de la mode, qui y va avec de gros sabots ; on ne s'ennuie pas du tout grâce à la stupidité de Derek et de Hansel. Il est fort Ben Stiller, en 2002 il avait quand même inventé la Duck Face et le Twerk ! (et David Bowiiiiie est lààààà !)

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10/01
(VOSTFR)
C'est du Sherlock sans vraiment en être. En changeant d'époque, les personnages revus et corrigés par Mark Gatiss et Stephen Moffat perdent un peu de leur superbe. Il n'empêche que l'intrigue est comme toujours parfaitement menée, que les répliques sont soit hilarantes, soit parfaitement écrites, et que c'est une joie de retrouver le duo Cumberbatch/Freeman ! Cet épisode spécial s'incruste étonnement bien dans la série, ce qui le rend indispensable en attendant la saison 4.

31/08

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11/01
Arte (VOSTFR)
"Mean Streets" est plutôt moyen, parce qu'on se trouve ici à regarder le Scorsese typique, celui où les lieux, personnalités des héros, leurs origines, les couleurs de l'oeuvre, la narration, les musiques... tout est du Scorsese classique. C'est "Les Affranchis", en moins bien. Nettement moins bien. Il y a beaucoup de dialogues et peu de temps forts (non pas que ce soit quelque chose qui me dérange d'habitude), et surtout aucun attachement envers les personnages. Un film qui sera rapidement oublié.

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13/01
(VF)
C'est le dessin animé Disney que je supporte le moins. Plus petite, il y avait cette longue scène d'ouverture qui faisait office de bande-annonce en ouverture de toutes mes cassettes vidéos. Je la connaissais par cœur, j'écoutais la musique en boucle sur un vieux CD, j'adorais. Les images étaient révolutionnaires pour l'époque, et même aujourd'hui, on ne peut pas dire que le film ait mal vieilli. Cependant, je ne l'ai découvert que très tard. À l'époque, je l'avais trouvé stupide et pas intéressant. Et rien ne change. Aujourd'hui je remarque d'autres défauts d'autres incohérences, mais le gros reste le même. Les lémuriens sont d'atroces bestioles, le héros est horripilant car parfait sous tous les rapports, les péripéties sont fades et répétitives, le doublage français est mauvais, ce qui est relativement rare en animation. Ce sont les débuts peu glorieux de Disney dans le numérique, un essai raté et vite oublié.

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16/01
(VOSTFR)
Moui c'est pas mal, si les demi-points étaient autorisés ça aurait été 5,5/10 même. Brad Pitt est charismatique, j'ai bien aimé le début, la fuite du zombie sans tout le tralala scientifique, la force de la mère de famille aussi (pour une fois que madame ne passe pas tout son temps à pleurer...). Ça reste divertissant, mais trop de facilités scénaristiques gâchent toute l'action. Il y a beaucoup de moments stupides et irréalistes. Quant aux zombies en question, ils sont pas mal, bien fait et glaçants par moment, sauf quand ils se collent aux vitre d'un labo et font des grimaces à Mr.Pitt.

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16/01
(VOSTFR)
Pas terrible, Madonna la narcissique ne me convaincra pas de ses supposés talents de réalisatrice avec ce film. C'est brouillon, mal filmé, l'intrigue contemporaine ne passionne jamais. Et franchement... Qu'est-ce qu'on s'en balance de la vie de Wally, passionnée par Wallis sans aucune raison. Jamais le mutisme du personnage d'Abbie Cornish ne sera expliqué, ni les raisons qui font que tous les jours elle se rend à l'exposition, à part un stupide "les filles aiment les contes de fées". Ce qu'il ne faut pas entendre franchement ! Les acteurs (actrices surtout) ne dégagent aucun charisme, c'est fade, long et ennuyant, jamais on ne s'attache aux personnages. Seul Oscar Isaac tire son impeccable épingle du jeu, comme toujours.

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17/01
Arte
Le documentaire est intéressant pour ceux qui ont envie de découvrir un peu quelques étapes clés de la vie de David Bowie. Pour les autres, et bien ils ne décèleront qu'une vague approche des grands moments et personnages du chanteur.

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17/01
(VOSTFR)
Je ne me lasse pas de ce film, de ses longueurs, de ses dialogues. Oscar Isaac y est tellement parfait. C'est de très loin son meilleur rôle, celui dans lequel il parvient le plus à s'effacer pour faire vivre son personnage. Magnifique.

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19/01
Arte
Je m'attendais à un documentaire, j'ai donc été surprise de me rendre compte qu'il ne s'agit "que" du concert mythique, marquant le départ de Ziggy Stardust, qui, soit dit en passant, défonce tout sur scène.

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19/01
Cinéma (VF)
Non, non, le film n'est pas mauvais. Simplement je n'ai pas accroché. Il y a des qualités, de nombreuses même, mais la boxe ce n'est définitivement pas mon truc. C'est un sport trop violent pour mon petit cœur, et je ne comprends pas comment l'amour du sport, le plaisir du cœur peut pousser à la douleur du corps. La réalisation de Ryan Coogler n'est pas ratée mais certains plans m'ont semblé maladroits, l'histoire ne brille jamais par son originalité. Hormis cela j'ai trouvé Stallone surestimé, loin de mériter son Golden Globe. Par contre Michael B. Jordan est merveilleux, c'est de loin son meilleur rôle.

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20/01
(VF)
Qui a eu l'idée de confier le rôle d'une fille mal dans sa peau, timide et supposée loin des standards de beauté (je refuse d'utiliser les termes laide ou moche comme dans le résumé), à Chloë Fucking Grace Moretz ? Cette jeune prétentieuse qui oublie la nature renfermée de son personnage dès qu'elle se barbouille de maquillage ! À partir de la scène du bal la jeune actrice laisse tomber l'aspect craintif de Carrie pour jouer du Chloë Moretz, et c'est vraiment insupportable. C'est d'autant plus dommage que le reste du film n'est pas si mal, si on excepte l'aspect film d'horreur pour ado (le personnage de Chris, bonjour je suis un cliché vivant pas réaliste du tout). La scène du bal fait toujours son petit effet, et même si elle n'est pas aussi malsaine que je le pensais, la relation mère/fille reste relativement dérangeante. Julian Moore est comme d'habitude intéressante et s'investit bien dans son personnage. Hormis cette dernière et Judy Greer qui est impeccable, le reste du casting est une belle brochette de têtes à claques. Je ne demande maintenant qu'à comparer avec le film de Brian DePalma, et surtout avec le livre de Mr.King.

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21/01
Arte (VOSTFR)
Une fascination, un amour qu'il refuse de reconnaître lie le haut gradé Yonoi et le prisonnier nouveau venu (magnifique) David Bowie. Cette relation homosexuelle non-avouée fait tout le charme du film, et si elle n'y était pas, il n'y aurait rien à sauver. "Furyo" a très mal vieilli, le passage du fameux baiser sur la fin semble sorti d'une autre dimension, aux limites du kitsch, même si c'est un très joli passage. De plus, trop de scènes ne mènent à rien, les deux heures semblent interminables. Le propos me semble trop peu fouillé, Nagisa Oshima semble ne faire qu'effleurer son sujet.

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21/01
Arte (VOSTFR)
Chronologiquement c'est le foutoir (pardon de l'expression), la plupart du temps j'ai été à la ramasse pour comprendre ce qui se passait. La réalisation de Thomas Imbach n'est franchement pas au top, certains de ses choix de plans laissent dubitatifs. L'idée de conserver une crédibilité linguistique est toujours à saluer, mais ce n'est pas la seule qualité du film, et heureusement. La jeune Camille Rutherford est convaincante, elle a une bonne présence à l'écran. Et puis surtout, c'est un plaisir de revoir Sean Biggerstaff, qui est bien trop rare sur les écrans (Olivier Dubois je t'aime ♥). Reste également que le film -aussi raté qu'il soit- est basé sur une oeuvre de Stefan Zweig, dont je lis beaucoup de bien en ce moment (merci Wes Anderson), alors "Mary Queen of Scots" aura au moins eu le mérite de donner envie de se pencher plus en détail sur la tragique vie de Mary Stuart. Et sinon, c'est quand que je découvre des bons films en 2016 ?!

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23/01
(VOSTFR)
Revu avec la soeur, le beau-frère et le chéri, tout le monde a adoré, je suis contente. ♫ racontage de vie ♪ "What if", c'est le genre de petit film sans prétention qui arrive à conquérir tout le monde, grâce à de l'humour et de l'émotion. En plus de la divine Zoe Kazan -ma nouvelle idole-, on ne peut pas oublier les performances de Daniel Radcliffe -adorable- et d'Adam Driver, à mille lieues de Kylo mais toujours aussi excellent, parce que oui, il a fait un excellent travail pour Kylo. Hors sujet.

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24/01
Pas aussi cucul que je l'attendais. La réalisatrice n'est pas une amoureuse des chevaux, du coup le propos passe assez bien. Le film a même un ton étonnamment rock n' roll très appréciable. Finalement, c'est une belle immersion dans un monde à part, où les passionnés vivent pour leur amour de l'équitation, que ce soit en saut d'obstacles ou en dressage. Alors pourquoi juste 5 ? Parce que même si Bruno Ganz est très bon, j'ai un peu de mal à le prendre au sérieux quand madame la muse de Karl Lagerfeld lui dit qu'il est "sexy" au moment où il cache ses bourrelets derrière sa chemise. L'attrait qu’exerce l'homme sur toutes ces femmes n'est pas très compréhensible. Aussi, l'héroïne, joué par Marina Hands est insupportable. Au delà du fait qu'elle ne soit qu'une garce sans expression, ce qui pourrait limite la rendre amusante, la jeune femme ne convainc pas. La faute à son manque de failles ou bien au jeu catastrophique de Marina Hands ? Le plus révoltant dans "Sport de filles" c'est surtout cette réplique qu'on entend dès les premières minutes du film : "Avec ton caractère tu finiras caissière dans un supermarché.". Alors à la personne qui a écrit cette horreur je dis fuck, merci les clichés, quand on est caissière on n'a pas spécialement raté sa vie, on ne le fait pas seulement parce qu'on n'a rien trouvé d'autre. Allez vous faire voir avec vos stéréotypes.

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24/01
France 4, je crois (VOSTFR -mauvais sous-titres, en retard)
Moi qui voulais terminer mon dimanche soir sur un film qui serait bien à coup sûr je suis déçue... "Winter's bone" n'est pas mauvais, il est juste atrocement vide. Et ce n'est pas Jennifer Lawrence ou John Hawkes qui y changeront quelque chose. De plus, le film dispose d'une bonne ambiance. Les hommes, les femmes, les enfants, les habitations, les rues, tout est crasseux et puant. Voilà bien un film qui ne donne pas envie de quitter son petit confort français pour les Etats-Unis ! Or, c'est bien l'une des seules choses à sauver. L'intrigue est loin de passionner ; très vite, les pérégrinations de Ree ennuient. C'est répétitif et ne mène nul part. Son père est mort, ou enfui, certes, MAIS QUE FAIT LA POLICE ? Hello, c'est leur rôle de chercher si le gus a pu s'évader ou se faire tuer, pas celui de l'adolescente !! Non et puis franchement, c'est moi où tout le monde couche avec tout le monde ici ? Pourquoi tous donnent l'impression d'être de la même famille ? Tout le monde a du sang en commun avec tout le monde dans ce film je suis perdue, encore une fois.

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25/01
(VOSTFR)
Mon deuxième film pour faire hommage à la disparition de David Bowie. Et oui, David Bowie est dans ce film. Il y est par le biais de Will Burton, un adolescent mal dans sa peau, complètement fan de l'artiste. Tellement fan qu'il lui écrit des lettres passionnées pour lui raconter les différents événements qui jalonnent sa vie. Ce qui me plaît dans ce film, c'est son ton rock, qui montre que oui, les adolescents d'aujourd'hui peuvent aussi se passionner pour les Sex Pistols, Bowie, Queen et autres grandes pointures mythiques, et pas seulement une infâme pop contemporaine. C'est sûr que ce n'est pas le film du siècle, mais plus tard, à mes enfants, je préférerai montrer ceci, qui traite, quoiqu'assez superficiellement, de deuil, de culpabilité, de rejet, de confiance en soi, plutôt qu'une romaniaiserie américaine sans autre propos. Et puis franchement, les morceaux chantés par le groupe sont franchement bons, non ?

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26/01
(muet)
Moins sujet à mauvaises interprétations que "Naissance d'une nation", "Intolérance" reste un très grand film. Les intrigues ne sont pas toutes égales, et les transitions de l'une à l'autre se révèlent régulièrement confuses. Pourtant, on ne peut que saluer l'immense travail réalisé sur ce film. Les décors sont hallucinants pour l'époque ! Franchement, il est difficile de rester de marbre devant l'attaque de Babylone, avec ces tours qui s'effondrent et ces figurants qui meurent pas milliers en arrière-plan ! L'intrigue contemporaine vaut aussi le coup d’œil, rien que pour la prestation de la toute jolie Mae Marsh, qui était déjà très bien dans "Naissance d'une Nation" (tout comme la divine Miriam Cooper, dont je suis sous le charme). Cependant, ma préférence va vers la fille des montagnes, brillamment interprétée par Constance Talmadge, qui m'a ravi dans son rôle de femme forte, qui se bat pour elle et pour ses convictions, étonnement moderne pour l'époque. Sans oublier de mentionner quelques plans remarquables, tels que les gros plans sur Brown Eyes et la caméra s'approchant doucement du Roi de France. Si le précédent film de D.W. Griffith m'avait charmé, celui-ci m'a définitivement conquis !

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27/01
Je suis agréablement surprise ! Le film est vraiment très sympa. Suricate, ça fonctionne très bien en vidéo courte, on le sait. Je ne me lasse pas de certaines des vidéos du groupe, qui me font toujours mourir de rire (Movie VS Life, Le contrat, Hey, Le rire 2.0, etc), alors forcément "Les dissociés" me titillait un peu, même si la peur d'être déçue était grande. Pourtant c'est très drôle. Mais pas que. C'est bien joué, plutôt bien mis en scène, sans temps mort, tout plein de guest... Bref c'est réussi. D'autant plus qu'il y a Vincent Tirel (ce génie) qui joue Magalie, et qui la joue comme s'il avait suivi un stage intensif d'imitation de petite fille de 5 ans, et ça, ça n'a pas de prix.

Annotation :

27/01
Je vous JURE qu'avec une autre actrice principale, la note aurait pu facilement grimper d'un ou deux points. Mais c'est physique, je ne supporte pas Léa Seydoux. Son problème, c'est qu'elle est incapable de se faire oublier. Trop présomptueuse, elle parle comme si elle discutait avec ses amis dans la rue, sans articuler ("c'est décvant" !!!), sans adapter son jeu à son costume. Elle a la candeur du personnage mais ne dégage nullement sa douceur. Heureusement, il y a Vincent Cassel, et même sous une tonne d'effets numériques, il est toujours aussi classe. Et même si l'amour de la Belle pour la Bête tombe comme un cheveu dans la soupe, je peux bien comprendre pourquoi elle a craqué vu le charisme du monsieur. Sinon je trouve dommage que la note sur le site soit si ridiculement basse. Un film comme ça, un film français en plus, il faut le défendre. Bravo Christophe Gans d'avoir osé proposer un conte de princesse aujourd'hui, dans notre pays avec des acteurs de chez nous (et une petite aide allemande je crois)! L'histoire est bien retranscrite, mais surtout, c'est sublime ! Si l'on se cantonne au cinéma hexagonal, c'est l'un des plus joli film que j'ai vu ces dernières années. Les décors surtout, mais aussi les costumes, les effets spéciaux (on est pas aux Etats-Unis hein, pour du français c'est très beau), et les musiques sont magnifiques et contribuent au charme féerique. C'est un grand pas pour le cinéma français, qui ne mérite pas d'être oublié ; au contraire, qu'il reste en tête, que ses forces inspirent et que ses défauts soient corrigés. Mmh par contre... qui a eu l'idée des horribles mascottes canines ?

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28/01
(VF)
C'est juste pas intéressant... et mal joué... et mal filmé... et prévisible. Bref, c'est mauvais. Le pire c'est que c'est tout ce qu'il y a à en dire.

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28/01
J'aime ce film. Je l'aime parce que Amélie, l'héroïne, représente tout ce que j'aimerais être. Libre de toute contrainte, courageuse de fuir son quotidien pour vivre son rêve à fond. Et ça tombe bien, son rêve est aussi le mien. Mon dieu le Japon est un pays formidable. Le premier tiers du film, où Amélie découvre Tokyo, est magnifique, rend heureux et donne surtout envie de faire ses bagages immédiatement. En revanche, entre la France et le Pays du soleil levant, rien n'est comparable. Le film traduit bien cet aspect puisque passé le temps de l'émerveillement et de la découverte, Amélie se rend compte qu'il est difficile de s'adapter à une culture fondamentalement différente. Ce sont des petits rien qui font le mal-être de l'héroïne : un petit ami trop gentil, trop dévoué, qui s'excuse trop souvent, des voisins qui prient de laisser les japonais seuls dans leur malheur après un drame, les sorties entre amis (la scène de la geisha), etc. C'est donc un aspect qui m'a beaucoup plu, le fait que ce ne soit pas une vision innocente donne au film un côté "vrai'. Même si la seconde moitié du film, donne moins la pêche pour laisser place à la déprime, rien ne fait disparaître l'envie de voyager. "Tokyo fiancée" est certes un beau film touristique, mais surtout un beau film sur la vie d'une européenne au Japon, avec ses hauts et ses bas.