2016 en films

Annotation :

01/01/2016
Revisionnage
9.5/10
Premier film de Tarantino et déjà, il dévoile son style, science des dialogues, galerie de personnages complexes et hauts en couleurs et violence omniprésente. Les acteurs sont tous excellents (Harvey Keitel, Steve Buscemi, Tim Roth et surtout Michael Madsen).

Annotation :

02/01/2016
Cinéma
5.5/10
Malick va encore plus loin dans l'expérimentation, en laissant totalement de côté le scénario pour se concentrer sur les images et les émotions. La voix off est comme toujours omniprésente, de même que l'idéologie religieuse. Même si cela en constitue probablement son propos, le film tourne à vide. La magie n'opère pas vraiment.

Annotation :

02/01/2016
Revisionnage
9.5/10

Annotation :

03/01/2016
Revisionnage
6.5/10

Annotation :

03/01/2016
7.5/10

Annotation :

07/01/2016
Revisionnage
5/10

Annotation :

08/01/2016
6.5/10

Annotation :

08/01/2016
Cinéma
7.5/10

Annotation :

09/01/2016
Cinéma 3D VF
7.5/10

Annotation :

09/01/2016
Revisionnage
5/10

Annotation :

10/01/2016
7.5/10

Annotation :

10/01/2015
6.5/10

Annotation :

10/01/2016
8/10
Un polar, lent, froid, quasiment dénué d'émotions, à l'image de son personnage principal, qui traverse la vie avec une impassibilité qui ferait rougir le Ryan Gosling de "Drive" (aucunement affecté par le décès de sa mère, quitte sa copine sans aucun remords...). Les seconds rôles sont tous excellents (Guy Pearce en flic plein de compassion, Jacki Weaver en mère castratrice et surtout le génial Ben Mendelsohn en psychopathe sans scrupules). Les influences de "Shotgun Stories" et de James Gray se font sentir, dans cette subtile exploration d'une famille atypique de gangsters.

Annotation :

11/01/2016
7.5/10

Annotation :

11/01/2016
Revisionnage
5/10

Annotation :

11/01/2016
9.5/10

Annotation :

12/01/2016
7/10

Annotation :

12/01/2016
8/10

Annotation :

13/01/2016
Cinéma
8/10

Annotation :

13/01/2016
7.5/10

Annotation :

14/01/2016
7/10

Annotation :

14/01/2016
7/10

Annotation :

15/01/2016
5.5/10
On pense aux frères Dardenne pour le réalisme social, et même au Kechiche de "La Graine et le Mulet", mais c'est bien un film d'Audiard. Le propos, les requérants d'asile seraient autant confrontés à la violence en France, dans les banlieues, que dans leur pays d'origine en proie à la guerre civile (ici le Sri Lanka), est intéressant et plutôt bien traité dans un premier temps. L'évolution de cette fausse famille, qui finit par paraître unie, puis explose, puis se réunit à nouveau, est traité avec brio. Après donc une première partie maîtrisée, dans un style inhabituel chez le bonhomme, Audiard renoue avec l'esprit de ses films précédents sur la fin du film, la tension, l'action et le thème de la fuite de l'environnement hostile font leur apparition. Mais, contrairement à ses habitudes, le réalisateur de "Un Prophète" ne semble plus maîtriser son sujet, proposant une fin caricaturale et irréaliste. Paradoxalement, c'est donc avec un de ses moins bons films que Jacques Audiard remporte la Palme d'Or, probablement grâce au traitement d'un sujet d'actualité sensible.

Annotation :

15/01/2016
7/10

Annotation :

15/01/2016
7.5/10

Annotation :

15/01/2016
7.5/10

Annotation :

16/01/2016
7.5/10

Annotation :

18/01/2016
8/10

Annotation :

18/01/2016
7.5/10

Annotation :

18/01/2016
8/10