2017

Annotation :

Génial et hilarant au début.
La fin est un peu relou, mais l'ensemble est assez fou.

Revu +1: en fait c'est juste l'absolu psychédélique de Hooper, sa folie à son apogée. Même la fin, je la reconsidère totalement. Et Leatherface est bouleversant.

Annotation :

Revu.
Toujours trop méchant pour moi, mais brillant.

Annotation :

Le meilleur Jarmush depuis des lustres. L'atroce Only Lovers left Alive est bien loin maintenant.
En plus la morale du film c'est "les chiens sont des fils de pute". Donc c'est forcément cool.
En vrai c'était super mais les annotations c'est un peu de la merde.

Annotation :

Naïf, mais magnifique. Vraiment.
Je devais rire comme un connard pour m'empêcher de pleurer.
J'ai passé beaucoup de temps à me frotter les yeux aussi.
Film à 3000 fins, mais c'est pas grave parce qu'elles sont toutes plus belles les unes que les autres.
2017 commence fort.

Annotation :

Première partie sublime, la seconde nettement moins.
La fin est quand même jolie.

Annotation :

Le début est assez ennuyeux et ne sert pas à grand chose, mais les 30 dernières minutes sont renversantes, et le film est rempli de très belles idées de mise en scène

Annotation :

Début de ma rétrospective Joe Wright promise au grand fou T-Mac qui se déroulera sur l'ensemble de l'année.
Je commence par ceux que j'ai pas vu, et sur les conseils de Littlebluelies par celui-là.
Il y a des choses moches (musiques omniprésentes, effets balourds comme cette satanée machine à écrire, etc.) qui font un peu académisme à oscar, mais il faut reconnaître que ce serait salaud de réduire le film à ça.
Il faut plutôt retenir sa cruauté auquel je ne m'attendais pas du tout, ses quelques très belles idées de récit, sa mise en place brillante et il faut bien le dire l'émotion qu'il procure finalement.

Peut-être que T-Mac a raison et que Joe Wright est un cinéaste important. A confirmer donc

Annotation :

Enfin vu le film de Soral.

Une merveille <3

Annotation :

Revu, avec un coeur en plus, parce que décidément c'est très beau.
J'avais oublié les 4 secondes de Luchini, c'est assez génial de le voir aussi peu

Annotation :

Entendons nous bien, Bayona n'est pas Spielberg comme je le lis parfois, et sa mise en scène pâtit de pas mal de répétitions (abus de longues focal, spécial dédicace Didou) et de quelques faiblesses.

Mais voilà, le truc c'est que ce film est son meilleur, qu'il est déchirant et très brillamment écrit, à l'ancienne en évitant tous les tics atroces des grosses productions américaines actuelles (que Nolan et Villeneuve se sentent visés). Et surtout le film est d'une grande générosité, une sorte de bras d'honneur à la pauvreté visuelles des grosses productions américaines actuelles (que Nolan et Villeneuve se sentent visés au carré) drapée derrière cette horrible mode de "l'épure". Là le monstre est un vrai monstre, le plus beau vu au cinéma depuis ceux de Pacific Rim, et on se permet des séquences animées complètement folles, jusqu'au mauvais goût peut être parfois, mais on s'en fout parce qu'on aime tellement ces personnages et croire à tout ça avec eux.

Annotation :

Con, grotesque, hideux.

Un navet qui n'a même pas le mérite d'être drôle parce que plombé d'un esprit de sérieux désarmant de crétinerie.

Bref, une incommensurable merde, qui ne m'a pas vraiment mis de bonne humeur.

Annotation :

En salle présenté par Jean-Claude Brisseau. Suivi d'une discussion.

The Outsiders en France. Plus violent, plus radical, plus politique, mais tout aussi poétique, envoûtant et émouvant.

Un film extraordinaire tout simplement, sorte de film rêvé dans le cinéma français et qui reste toujours, 30 ans après, une sorte de comète sans aucune filiation.

Sans doute qu'un film comme ça aujourd'hui serait impossible, et c'est d'une grande tristesse...

Annotation :

Du bon vieux cinéma de papa bien vieillot.

Mais Michèle Morgan.
Mais (et surtout) Gérard Philippe.

Annotation :

Film fou, sans doute réalisé sous multiples substances.

Comédie hilarante aussi.

Vraiment génial en fait.

Annotation :

Sympathique.
Avec de très beaux moments d'animation, malgré les personnages tous plus moches les uns que les autres.
Les chansons sont pas horribles, c'est surprenant.
Le récit est pas captivant, mais ça se tient, et c'est plutôt mignon.

Annotation :

Bon c'est moins horrible que le précédent qui était une abomination, mais c'est quand même nul.

C'est laid et très pauvre formellement. Et dans le fond, je crois que les obsessions de ce réalisateur me laissent complètement indifférent, et je pense que les gens que ça intéressent doivent vraiment avoir une vie de merde. Et en plus être des petits bourgeois très peu aimables.

Mais encore une fois, contrairement au précédent, c'est, d'une manière générale, regardable.

Annotation :

Revu

Pas mal

Annotation :

Vu pour la 5eme fois.

Maintenant je le connais par cœur.

C'est beau quand les chef-d'œuvres restent des chef-d'œuvres, qu'ils font toujours autant rire et toujours autant pleurer.

Immense tout simplement, en plus d'être le meilleur film français des années 2000 avec Holy Motors.
Sacré Paul. J'ai plus que jamais hâte de voir son Jean Moulin.

Annotation :

Revu également.

La première fois j'ai mis 7, mais ça devait être un 6 si j'avais été sincère. Maintenant c'est un 7 de bon cœur, et même pas loin du 8.

En fait c'est bon de voir le film calmement, après le phénomène de hype chic hystérique qui l'entourait. Toni Erdmann n'est pas la claque instantanée dont tout le monde parlait, le "film monde" saisissant annoncé partout. C'est un grand petit film, qui épaissit discrètement tous les thèmes simples qu'il aborde. Cette fois-ci je ne voulais pas retirer de minutes au film, parce que je l'ai trouvé diablement bien écrit. Maren Ade impose son rythme, et c'est très bien.

Mais voilà, je ne peux pas vraiment aimer le film, malgré qu'il soit hyper brillant (dans sa modestie), parce qu'il me déprime de façon vraiment désagréable. Cet état du monde me déprime, cette meuf et sa vie me dépriment, son père me rend triste de façon trop cruel. Je pense qu'au fond, il y a moins de choses à sauver de l'humanité et du monde contemporain ici que chez Houellebecq. Et du coup, la projection n'est pas agréable. Quel que soit les qualités du film.

Ça rend son succès totalement énigmatique pour moi d'ailleurs.

Annotation :

Le coffret des Césars permet de rattraper des merveilles.

Très angoissant.

Annotation :

Début d'une rétrospective de belles comédies musicales pour se laver les yeux d'avance de la vision de La La Land. (Blague) (en plus je pense que je vais pas détester) (et je savais même pas que celui-là était une comédie musicale).

Au début je me disais c'est génial, mais bon c'est un petit Lubitsch. Puis je me suis de plus en plus dit que c'était génial quand même. Leçon de mise en scène, de bon goût et de finesse.

Et comme toujours derrière le charme, c'est déchirant.

Annotation :

En présence d'Arnaud des Pallières et Christelle Berthevas.

Curieux et passionnant film que celui-là. Je suis sur qu'il me restera en tête longtemps. Très troublant par sa vitesse et son jusqu'au boutisme, jusque dans une forme de laideur. La discussion après le film était passionnante, et Arnaud Des Palières a vraiment foi ce qu'il fait.

Malgré ses défauts, ses longueurs, et peut-être son manque d'émotion au cours de la projection (comme souvent chez lui l'émotion qu'il me procure est plutôt théorique et intervient à postériori), Orpheline est un film souverain et ambitieux et se doit d'être défendu.

C'est dit.

Annotation :

D'abord, les titres de Guiraudie sont les plus beaux du monde.

Ensuite, j'ai longtemps cru que j'aimais pas Guiraudie à cause du Roi de l'évasion, que j'aime toujours pas beaucoup.

Je me suis longtemps trompé.

Et celui-là est une bien belle rêverie. 7 uniquement parce que j'aime moins que les deux derniers. Mais c'est nul les notes.

Annotation :

Le Brizé nouveau, c'est l'assurance de voir le film à détester de l'année.

Moins mauvais que les deux derniers, surtout le dernier, et c'est presque dommage. ça m'a juste fait chier.

Annotation :

Revu en salle dans sa belle copie restaurée.

Encore plus queer que Cruising et Boys in the band.

Annotation :

Il y avait trop de monde dans la salle et ça sentait mauvais.

Sinon, c'est mieux que tout inarittu. La nostalgie c'est pas toujours bien, ça mène même à de grossiers problèmes idéologiques, mais il faut vraiment être de mauvaise foi pour ne pas voir que le film est habité et parfois très réussi.

Oui la séquence d'ouverture c'est du "m'as tu vu", mais ça marche, il y a une envie, un souffle.

Il y a des choses que je n'aime pas dans le film (son côté reac et bourgeois sans conscience), mais il y a des moments de rêverie qu'on ne voit plus à Hollywood. Donc ne soyons pas trop ronchons.

Mais quand même un peu