2017 en BD

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C'est le premier roman de SF que j'ai lu gamin. L'adaptation en BD est un peu lisse, elle reprend les forces et les faiblesses du bouquin d'origine.

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Pareil.

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Tout pareil.

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Pas drôle, cliché, prévisible, limite misogyne, bas de plafond. Pas de tome 2 pour moi.

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C'est mignon, c'est sexy. Il s'agit de courts sketches, en fait les rêves érotiques de l'héroïne, qui terminent tous par son réveil en disant "oh, quand je vais raconter ça à mon psy". Sympa mais c'est vraiment creux, dommage que ça ne raconte rien ou que ça ne surprenne pas. Mais c'est sexy.

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Je trouve ça plutôt malin et pertinent, ça m'a pas mal fait sourire mais pas franchement marrer. Très bien, mais pas vraiment ma came.

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Des histoires courtes pas vraiment percutantes. Lisible, mais décevant.

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Certainement pas le meilleur Iznogoud : marrant mais pas hilarant, narration décousue, gags capilotractés et conclusion abrupte. J'en essayerais un autre pour voir mais dons mon souvenir c'était bien meilleur !

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Un peu surpris voire déçu par la "non-fin", mais l'univers à la Jules Verne est génial et les dessins superbes, des gravures en noir et blanc qui nous emmènent dans un vrai voyage fantastique au début du siècle.

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Un album très drôle, mais aussi très juste, sur le pouvoir de la calomnie, de la jalousie, de la suspicion. Avec même une très grosse bataille, brève, mais épique !

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Un peu déçu quand même, car les requins mis en avant sur la couverture sont en fait assez peu présents, la BD se révélant finalement être un pur slasher, dans la parfaite tradition du genre : assez linéaire mais efficace.
Le genre est bien maîtrisé, et toute la première partie d'exposition et de découverte de l'île est vraiment sympa, avec même un aspect historique très intéressant. Une bonne BD "de genre", plaisamment illustrée.

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Je trouve qu'il y a une grande tendance dans la BD française, c'est l'auto-biographie "ordinaire". L'auteur raconte des tranches de vie, des souvenirs, qui n'ont rien d'extraordinaires, qui pourraient être celles et ceux de n'importe quel lecteur.
C'est exactement ça, ces mémoires de collégienne : du coup c'est assez frais, réaliste, voire charmant, mais c'est pas transcendantal ni même original.

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Edité par Delcourt comme étant le tome 1, j'ai forcément moins apprécier de commencer cette série par le milieu. C'est pas grave, c'était sympa, et je vais reprendre en suivant la numérotation originale cette fois.

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OK, Hellboy c'est bien, très bien même : un style graphique qui claque, des histoires bien écrites, et un ton sombre avec des pointes d'humour, tout est très bien réussi.
Une BD assez adulte, j'avais peur d'un énième truc pour ado ou geek attardé, on est en heureusement loin.

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Idem

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Peut-être encore meilleur que les deux premiers !

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Malgré le thème (les kisaengs sont l'équivalent coréen des geishas) on est loin du graveleux, le thème du sexe est à peine abordé sous forme de métaphores (des fleurs, des papillons, la pluie). D'ailleurs c'est le seul reproche que je ferais à cette série, la surabondance de métaphores poétiques.
Les thèmes principaux sont essentiellement la découverte d'un univers original, et la rivalité entre des personnages diamétralement opposés. Plutôt très bien.