2018 : Films vus et revus

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Découvert le 01/01 - TV -

Un film quasiment exemplaire d'un certain classicisme hollywoodien. Une thématique très américaine (les Quakers, la foi, la famille) mais tempérée par des moments de comédie plutôt drôles (si on accepte une certaine naïveté toute américaine également).
Quelques beaux moments de mise en scène cependant, mais aussi des transparences et des décors de studio franchement embarrassants.
Gary Cooper est comme souvent très bien, ainsi que le gamin (sans oublier l'oie !!).
De toute évidence ne mérite pas une Palme d'or à Cannes ( il y avait quand même, cette année là, le 7ème Sceau, Un Condamné à mort s'est échappé et Les Nuits de Cabiria en compétition ...)

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Découvert le 01/01 - Cinéma -

Recette du gloubiboulga cosmique, liste des ingrédients :
1 combat spatial, 1 combat au sabre laser, 1 cours pseudo-mystique par un moine encapuchonné qu'on fera mourir à petit feu, puis revenir à feu laser doux, deux ou trois robots pas trop ferreux, 1 méchant laid et repoussant, un autre méchant qui va se racheter puis devenir à nouveau méchant, relevez le tout de nombreuses explosions, préparez une sauce à base d'extraterrestres et de quelques animaux exotiques qui plairont aux enfants, mélangez tout çà de façon totalement aléatoire, nappez le tout d' une musique lourde et vulgaire.

Vous obtiendrez une merveilleuse bouse qui plaira au plus grand nombre, jeunes ou vieux et qui comblera l'appétit de tous pourvu qu'on ne souffre trop d'un estomac retourné à l'avance de tant de lourdeurs et de répétitions (c'est simple on dirait du Mc Do)

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Découvert le 01/01 - TV -
Un film en deçà des exigences de la ''nouvelle vague japonaise'', pour ce que j'en ai vu, c'est à dire fort peu.
Pas inintéressant, mais au sujet un peu trop plombant et qui m'a moins touché que ceux de Kore Eda ou Kawase. Mérite d'être vu cependant.

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Découvert le 02/01 - TV -

J'ai lu quelques sottises à propos de ce film sur ce site. La palme en revient à ceux qui expliquent à Tatave que la guerre de 14-18, çà n'était pas (je cite) ''faire courir quelques soldats dans les plaines'' et que Kubrick a mieux compris la 1ère GM qu'un cinéaste français.
Ceux là, en tout cas n'ont pas tout compris qui pensent que l'Argonne, la Somme ou Verdun, c'est la même chose que le Front des Balkans. Reprocheraient-ils à ''Gallipoli'' ou aux ''Hommes contre'' de se différencier eux aussi du message convenu de Kubrick, alors qu'ils montrent d'autres facettes de cette gigantesque boucherie?
Si on pouvait arrêter un jour de tout juger à l'aune de quelques cinéastes un brin surestimés, çà ferait des vacances à tout le monde...
Moi j'aime bien le travail de Tavernier, qui a ses propres qualités (et ses propres défauts) et je lui reconnais une grande finesse d'analyse historique, politique, sociale et même psychologique de ce sujet difficile. Il ne me semble pas nécessaire de se référer au travail d'autres cinéastes pour comprendre sa démarche.
Car démarche il y a, bien sûr, et pas seulement de dénoncer l'affreuse stupidité du conflit mais aussi de le montrer à hauteur d'homme, dans le quotidien absurde et sauvage de ces soldats déracinés, qui ne savent plus pourquoi ils se battent, ni contre qui, ni même parfois où...
Et Tatave le fait sans didactisme, en humaniste, sans nous abreuver d'une morale facile et bien pensante.
Philippe Torreton sert admirablement ce travail , avec force et conviction, en réussissant à faire vivre ce personnage contradictoire et profondément humain, qui à force de perdre tout repère finira par crever à petit feu de sa fichue guerre après avoir retrouvé sa vie civile de mercier breton (admirable dernière scène où Torreton bouleverse).
Hélas, et c'est un bémol d'importance si Torreton est bon, et la plupart des seconds rôles, on ne peut en dire autant d'un bien falot Berléant et surtout d'un catastrophique Samuel le Bihan, qui joue faux et est bien peu crédible en militaire (lui aussi est meilleur dans la dernière scène). Le personnage était pourtant intéressant, tiraillé entre son idéal de justice, son amitié et sa compassion.
Mais cet écueil ne saurait nous faire oublier toutes les belles qualités de cette oeuvre forte et digne.

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Découvert le 03/01 - TV -

L'ennui avec la barbe à papa, c'est que çà colle aux doigts.

Voilà, c'est tout...
Ah non, Janet Leigh est une bien belle jeune femme. Et je suis heureux que Liz Taylor ait été brune (Ne me décevez pas, confirmez moi que c'est bien une perruque qu'elle porte là).

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Découvert le 04/01 - TV -

Le film m'a semblé un peu trop chargé d'émotions pour être tout à fait honnête. Moins fort que Billy Elliott ou The Hours.

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Découvert le 05/01 - TV -

Certainement pas la plus grande réussite de Guitry, mais néanmoins réjouissant, le scénario étant plus bon enfant que cynique. Le problème, c'est que c'est le cynisme qu'on préfère chez Guitry.
Qui plus est la construction en forme de quasi film à sketches et quelques répétitions dues à cette forme lui font perdre un peu de rigueur et de force.

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Découvert le 07/01 - DVD -

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Découvert le 08/01 - Cinéma -

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Revu le 08/01 (2ème vision) - TV - 1 pts de plus -

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Découvert le 09/01 - TV -

La philosophie dans le Bouddha.

Tout le monde l'a remarqué, Joaquin Phoenix a du bide dans ce film, d'où le titre de ce billet.
Mais je l'ai trouvé plutôt bon, comme d'hab'.
Emma Stone a un frais minois, mais vous avez remarqué comme elle grimace quand elle (sur)joue la colère ??
Quant à Woody, je n'aurai qu'un mot : Fainéant !!
Voilà, cette critique est finie, et elle aussi inconséquente que le film.
Mais bon si le réalisateur a le droit de bâcler, pourquoi retirerait on ce droit à l'apprenti critique ?

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Revu le 10/01 (2ème vision) - TV - 1 point de plus -

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Découvert le 11/01 - TV -

L'Histoire vue par Point de Vue-Images du Monde et Gala -

Un film pas plus mal réalisé qu'un autre, mais bon, c'est pas Barry Lyndon non plus, hein !
Une preuve, les horribles filtres jaune pour '' imiter '' la lueur des chandelles, ou le ''romantisme'' mièvre de la scène de bal... tout çà est d'un ridicule.
Les costumes (et l'actrice) sont jolis, les acteurs (et l'actrice) ne sont pas mauvais.
Ce qui l'est en revanche c'est le scénario : un film politique sans politique, une caricature de film historique. Rien n'est faux mais tout est romancé et romanesque (mais non, pas romantique, le romantisme n'a rien à voir avec une soupe douceâtre et insipide).
Au lieu d'une étude passionnante sur la montée de la philosophie des Lumières et le Despotisme Eclairé, on a droit à une bluette où les galipettes en alcôve remplacent les antagonismes et les rapports de force socio-politico-économiques; où les individus et leurs amourettes régissent le monde, où les courants de pensée ne sont que l'expression des foucades d'adulescents écervelés et lunatiques.
Un film taillé pour un certain public actuel du cinéma, naïf et acculturé, qui croit que la Révolution Francaise est une comédie musicale, que la tragédie grecque c'est Star Wars et que Tarantino est la réincarnation de Dostoievski.

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Découvert le 11/01 - DVD -

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Revu le 12/01 (2ème vision) - TV - Note inchangée -

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Revu le 12/01 (2 ou 3ème vision) - TV - Note inchangée -

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Découvert le 13/01 - DVD -

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Découvert le 14/01 - TV -

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Découvert le 15/01 - TV -

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Découvert le 16/01 - Cinéma -

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Découvert le 16/01 - TV -

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Découvert le 17/01 - TV -

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Découvert le 18/01 - DVD -

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Découvert le 19/01 - TV -

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Découvert le 19/01 - TV -

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Découvert le 19/01 - TV -

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Découvert le 20/01 - TV -

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Revu le 20/01 (2ème vision) - Note inchangée - TV -

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Découvert le 20/01 - TV -

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Découvert le 21/01 - TV -